le COEUR du Monde : C’est le Monde des PAUVRES
Apprendre à « De –PENSER » et pour ce faire, penser parfois peut être de travers
apprendre à questionner et à voir le monde autrement,quitte à sembler naïf simpliste ,ou manichéen
Les pauvres
Le monde des pauvres
sans démocratie, sans liberté, sans richesses
sans logis ,sans pain ,sans soins
sans eau, sans électricité
des réfugiés, sans pays, sans papiers, sans sécurité
connaissant des inondations,les désastres naturels,
les tremblements de terre, les cyclones
des mafia qui font la loi ,des polices qui menacent
des terroristes ,des extrémistes
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ils sont des milliards, les 2/3 de l’humanité , en Chine en Russie dans les Balkans en Birmanie, au Vietnam, en Afrique, en Amérique latine etc
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Mais aussi
aux Usa ,des gens sont expulsés de leur maison et n’ont pas de sécurité sociale
Mais aussi
dans nos banlieues des jeunes, et des chômeurs de longue durée ,sont désœuvrés
ceux qu’on appelle le quart monde
Ceux là sont peut être les plus malheureux car côtoyant les riches, ils se révoltent contre leur sort
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1 Kcho
2 Haring
Là, dans le Monde des pauvres, vit le cœur du monde
Nous les riches ,les capitalistes, les propriétaires ,les biens lotis,les instruits
Nous sommes une minorité
le cœur du monde est le coeur des pauvres
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Est il possible que ces milliards d’hommes vivent dans la détresse ?
N’ont-ils pas une philosophie, une sagesse
qui les rende humains,,
profondément humains ?
–
Attachés non pas aux biens matériels, puisqu’ils ont rien
Mais attachés à d’autres valeurs comme l’amitié, le respect des parents de la famille ,une vie intérieure riche et profonde
Contents d’être ensemble avec leurs enfants .
Leur grande misère étant alors de perdre ces enfants qui à leur tour errent par millier dans les camps de réfugiés ou les mégapoles
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Les vrais malheureux
ne seraient ils pas les riches
qui se croient heureux
qui se croient libres ?
–
Ils se croient libres !
Alors qu’ils sont manipulés par des intellectuels ou des hommes politiques
Alors qu’ils dépendent des mass media
–
Libres !
Alors qu’ils s’accrochent désespérément à leurs biens ,leurs maisons
Ils ne veulent pas perdre tout cela
Ils s’agrippent, ils s’accrochent, ils pleurent .
Absolument pas préparés à vivre des situations difficiles
Alors ils se battent pour garder leurs avantages
Ils perdent cœur
–
Ou est donc cette liberté tant vantée
dans les pays ou règne une soi disant démocratie ?
Qu’est ce que cette liberté, cette richesse, cette démocratie
qui nous a fait perdre cœur ?
–
Les premiers seront les derniers
les derniers seront les premiers
dit évangile
–
ce qui est en haut est en bas
ce qui est en bas est en haut
dit la table d’émeraude
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J’ai eu l’occasion de voyager un peu dans ma vie. j’ai rencontré des riches, j’ai rencontré des pauvres. j’habite actuellement au Mozambique parmi une population pauvre. Je rentre en France en congés tous les 3 ans. La dernière fois que je suis rentré, j’ai été marqué de voir tant de souffrance en France: des gens qui on tout, la nourriture, l’argent, le téléphone portable… et pourtant ils portent en eux des souffrances. Ils se sentent isolés. Au Mozambique, la vie est beaucoup plus difficile. Il e faut lutter pour avoir sa nourriture… et pourtant, les gens sont heureux. Ils vivent unis, ils s’entraident… Ils n’arrêtent pas de chanter, de danser… Je pense que la question intéressante n’est plus: « qu’est-ce qui nous rend heureux? » mais: »qu’est ce qui nous rend malheureux? »
Alors, quelles sont les sources de souffrances? l’exclusion? voir un proche mourir? oui c’est contre tout cela que nous devons lutter. tant que la pauvreté sera facteur d’exclusion en France, elle sera facteur de souffrance. sachons vivre unis. sachons changer notre regard. n’ayons plus peur des pauvres, ils nous disent quelque chose de Dieu. j’ai été invité à manger avec des sdf, par l’association Saint Vincent de Paul. j’ai beaucoup aprécié ce moment. Un moment simple où nous avons parlé librement, sans préjugés, sans manières. Oui je pense que les pauvres ont beaucoup de chose à nous apprendre.
merci pour ce blog un peu réac. il nous interpelle pour penser autrement.