Ainsi parlait Zarathoustra :Le cri

Nietzsche écrit la quatrième partie de son livre  entre 1884et 1885

Le cri

Les vagues de l’immense misère humaine. ne cessent de monter autour de la montagne. Zarathoustra  entend un long cri funeste que les abîmes se renvoient Le grand solitaire descend donc de la montagne  pour rencontrer les hommes

Il rencontre deux  rois qui étaient las de leurs courtisans, puis le pape qui avait perdu la foi

 » le dieu ancien ne vit plus… et le vieillard attristé déclara J’ai servi ce Dieu ancien jusqu’à sa dernière heure ..pendant de longues années ma volonté suivait partout sa volonté … mais pourquoi donc ne parlait il pas plus clairement… mais ce dieu ancien ne vit plus . Il est vraiment mort ,celui là 

Il rencontre le  plus laid des hommes mais lui refuse la pitié qui offense la pudeur

Il regarde avec plaisir le mendiant volontaire qui prêche à des vaches « .si nous ne devenons pas comme des vaches nous n’entrerons pas dans le royaume des cieux  » car comme les vaches nous devons apprendre à ruminer, à méditer

A Midi ,Zarathoustra ne rencontre plus personne et se repose sous un arbre, attentif aux moindres bruits ,le bruissement d’un lézard dans l’herbe, un souffle ,un glissement ,un clin d’oeil .Peu de chose provoque un immense  bonheur .Silence!

Puis Zarathoustra retourne dans sa grotte, et célèbre la cène avec ceux qu’il avait rencontrés, en exaltant l’homme supérieur ,joyeux à la guerre comme  au cours des festins, ni chagrin, ni rêveur

Un peu plus tard, toute sa bande chante en adorant un âne

il porte nos fardeaux    IA.

Il ne parle pas    IA

Chacun croit à ses longues oreilles IA

Pour la première fois Zarathoustra fut content de vivre

Laisser un commentaire