Helen Lieberman la doctoresse blanche en Afrique du Sud

Il parait que maintenant  en plus de la fête des mères

Puis des grands mères

On en rajoute 

Et on célèbre la journée de la femme

Faut il qu’on les aime quand même !

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Elles se plaignent

Elles murmurent

Elles se révoltent

Mais quand même

 on les bichonne !

N’est ce pas les hommes ?

Et puis

Elles nous aiment bien

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Enfin !

Cela nous donne l’occasion

de découvrir des femmes remarquables

Car il faut le reconnaître

Et Oui ! Il y en a

Et même de très grandes

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Ainsi

 Helen Lieberman

la doctoresse blanche ,Afrikaner

révélée dernièrement par un nouveau livre de Dominique Lapierre

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Elle était une jeune orthophoniste en 1960

Et rencontre alors  dans les hôpitaux

 toute la misère des noirs

qui sont certes soignés

 mais ensuite renvoyés dans leur bidonville

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Elle est la première blanche à oser

S’introduire dans ces ghettos

qui font peur aux riches

Pas d’eau, pas d’électricité , pas d’école

manque de nourriture 

Des toits en tôles

qui ne protégent ni de la pluie

ni de la chaleur du soleil 

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Alors Helen Lieberman  va consacrer toute sa vie à essayer d’améliorer

La situation dans ces quartiers de la misère

en commençant par des écoles et des centres de formation    

Elle préside actuellement l’une des plus grandes ONG de l’Afrique du sud

titulée « Ikamva Labantu »

qui veut dire

« L’avenir de notre nation »

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Elle agit toujours  

Car il y a urgence

Et malgré la grande influence de Mandela qu’elle admire

Malgré la  fin de l’ apartheid  

Le gouvernement sud africain

A bien du mal

A gérer une telle situation

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Selon, un rapport des nations unis publié dans « Afrique relance »

 

Six ans après l’élection du premier gouvernement démocratique d’Afrique du Sud,

 des améliorations importantes ont été apportées

 à l’éducation, aux soins de santé, aux conditions de logement et autres services sociaux dont bénéficie la majorité de la population, noire et défavorisée.

Mais la pauvreté reste endémique et les écarts de revenus démesurés.

 En raison de la libéralisation économique et des compressions budgétaires, il est difficile d’améliorer les conditions de vie des pauvres et de leur donner de meilleures perspectives d’avenir. En outre, le sida progresse à une vitesse alarmante.

 

  

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