L’encyclique « Caritas in Véritate » :La rencontre avec l’Autre :Tourisme, migrations, le chômage

A la fin de son encyclique ,Benoit XVI, 

nous rappelle que l’humanité est une grande famille 

 

Nous sommes tous Un

Nous sommes tous de la même race

Nous sommes tous unis dans la divinité

et à cause des cette profonde union entre nous

il faut tout faire pour vivre en communion

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Actuellement   

Les occasions de rencontre se multiplient 

il y la tourisme ,les migrations ,le commerce international 

Ces occasions   

devraient nous aider 

à mieux nous connaître 

à mieux nous respecter 

à mieux nous entraider 

  

voir le site de caritas in veritate 

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Le  tourisme international 

peut constituer un facteur notable de développement économique et de croissance culturelle, mais peut aussi se transformer en occasion d’exploitation et de déchéance morale.

Il convient alors d’imaginer un tourisme différent, capable de promouvoir une vraie connaissance réciproque,

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 Le phénomène des migrations 

est un autre aspect qui mérite attention quand on parle de développement humain intégral.

Nous sommes tous témoins du poids de souffrances, de malaise et d’aspirations qui accompagne les flux migratoires.

….les travailleurs étrangers, malgré les difficultés liées à leur intégration, apportent par leur travail, une contribution appréciable au développement économique du pays qui les accueille, mais aussi à leur pays d’origine par leurs envois d’argent.

Tout migrant est une personne humaine qui, en tant que telle, possède des droits fondamentaux inaliénables qui doivent être respectés par tous et en toute circonstance

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63. Le chômage et la dignité dans le travail

. Que veut dire le mot « digne » lorsqu’il est appliqué au travail?

Il signifie un travail qui, dans chaque société, soit l’expression de la dignité essentielle de tout homme et de toute femme:

un travail choisi librement, qui associe efficacement les travailleurs, hommes et femmes, au développement de leur communauté;

un travail qui, de cette manière, permette aux travailleurs d’être respectés sans aucune discrimination;

un travail qui donne les moyens de pourvoir aux nécessités de la famille et de scolariser les enfants

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64. En réfléchissant sur le thème du travail, il est opportun d’évoquer l’exigence urgente que les organisations syndicales des travailleurs, qui ont toujours été encouragées et soutenues par l’Église, s’ouvrent aux nouvelles perspectives qui émergent dans le domaine du travail.

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Les consommateurs 

 

66. L’interconnexion mondiale a fait surgir un nouveau pouvoir politique, celui des consommateurs et de leurs associations. C’est un phénomène sur lequel il faut approfondir la réflexion: il comporte des éléments positifs qu’il convient d’encourager et aussi des excès à éviter.

Il est bon que les personnes se rendent compte qu’acheter est non seulement un acte économique mais toujours aussi un acte moral.

Le consommateur a donc une responsabilité sociale précise qui va de pair avec la responsabilité sociale de l’entreprise.

Les consommateurs doivent être éduqués en permanence  sur le rôle qu’ils jouent chaque jour et qu’ils peuvent exercer dans le respect des principes moraux, sans diminuer la rationalité économique intrinsèque de l’acte d’acheter.

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La famille des nations 

 

67. Face au développement irrésistible de l’interdépendance mondiale, et alors que nous sommes en présence d’une récession également mondiale, l’urgence de la réforme de l’Organisation des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de famille des Nations, trouve un large écho.

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 Pour le gouvernement de l’économie mondiale,

 pour assainir les économies frappées par la crise,

pour prévenir son aggravation et de plus grands déséquilibres,

pour procéder à un souhaitable désarmement intégral,

pour arriver à la sécurité alimentaire et à la paix,

 pour assurer la protection de l’environnement

et pour réguler les flux migratoires,

il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale

telle qu’elle a déjà été esquissée par mon Prédécesseur,

le bienheureux Jean XXIII.

Une telle Autorité devra être réglée par le droit, se conformer de manière cohérente aux principes de subsidiarité et de solidarité, être ordonnée à la réalisation du bien commun, s’engager pour la promotion d’un authentique développement humain intégral qui s’inspire des valeurs de l’amour et de la vérité.

 

 

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