J Chrysostome : Contre les meneurs d’une manifestation populaire à Antioche

En 387

les habitants d’Antioche

furieux après une  augmentation des impôts

avaient renversé les statues de l’empereur et de sa famille 

**

J Chrysostome ne peut tolérer un tel désordre

et s’attaque aux casseurs de son temps

**

Que penserait il donc du printemps arabe

et de nos manifestations si fréquentes  dans nos villes modernes ?

**

Il avait déjà auparavant mis en garde les chrétiens contre de telles manifestations

**

Je vous avais demandé  

de reprendre publiquement  de punir les blasphémateurs et  de réprimer ces hommes

**

Si  nous avions puni ces audacieux coupables

, ce que nous voyons maintenant ne serait pas arrivé.

n’aurait-il pas mieux valu essuyer de leur part des violences

que de craindre aujourd’hui et de trembler à cause de leurs excès., ?

  La faute n’est l’ouvrage que d’un petit nombre, et la responsabilité en retombe sur toute la ville.

**

Evidemment ce sont déjà les étrangers ,des immigrés  qui ont tort

**

 Nos citoyens en général, je le sais, sont par eux-mêmes sages et honnêtes : ce sont de misérables étrangers, des gens sans aveu, venus d’autres pays chez nous, hommes perdus, et scélérats déterminés; ce sont eux qui ont commis l’attentat dont nous gémissons.

**

. Etait-ce donc à tort et sans motif que je vous avertissais, que j e vous fatiguais, que je vous importunais ? Mes avertissements et mes importunités n’ont rien produit alors

Vous n’avez point participé à la révolte, je vous loue et je vous approuve; mais vous n’en avez point arrêté les fureurs, et en cela vous méritez des reproches.

Laisser un commentaire