Vincent de Lerins(+448) écrit un « commonitorium » ou résumé de la foi

Qui était donc Vincent de Lérins ?

Ce frère de « Loup » évêque de Troyes

est un moine heureux qui au 5é siecle

s’est retiré dans son paradis

l’ile Lérins

une ile de beauté

qui baigne dans une eau

pure et bleue

sous un ciel d’azur

éblouissant

Là ! C’est le bonheur !

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Un homme heureux

qui vit sur une île où règne le silence et la paix

loin des barbares qui pullulent en ce siècle

loin des «pères conciliaires »

Qui ne cessent de sa battre au nom du dogme

 

« loin  de  l’affluence  des  villes  et  de  leurs  foules,  nous habitons un petit domaine  à l’écart,  et là, une  cellule de monastère où, sans la moindre distraction, on peut mettre en pratique ce qu’on chante dans le psaume : Demeurez en repos et voyez que je suis le Seigneur(Commonitorium).

Là donc ,il va pouvoir écrire  son Commonitorium

(ce qui a toujours été cru par tous )

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Le genre de vie que  nous  avons  adopté  s’accorde  à  ce  dessein,

Il veut expliquer l’essentiel de la foi

en respectant la règle suivante :

ne pas exposer tout, mais seulement l’essentiel,dans un style sans ornement ni recherche, tout uni et familier, avec  l’aide  de Dieu, abriter notre  foi derrière un double rempart : d’abord l’autorité  de  la loi  divine, ensuite la tradition  de l’Église catholique.

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« Conforment aux Ecritures

Comme il est dit dans les évangileset selon la tradition

Ce sont les arguments de tous les docteurs de l’église

des premiers siècles

 

5. Et, dans l’Église catholique elle-même, il faut veiller soigneusement 

à s’en tenir  à  ce qui  a  été  cru partout,  et toujours, et par tous ;

 

 6. Il  en  sera  finalement  ainsi,  si  nous suivons l’universalité, l’antiquité, le consentement général. Nous suivrons l’universalité, si nous confessons uniquement  vraie  la  foi  que  confesse  l’Église  entière répandue par tout l’univers ;

l’antiquité, si nous ne nous écartons  en  aucun  point  des sentiments  manifestement partagés  par  nos  saints  aïeux  et  par  nos  pères ;

le consentement  enfin si, dans  cette  antiquité même, nous adoptons les définitions  et les doctrines de tous,  ou  du moins de presque tous les évêques et les docteurs. 

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