Discours de Benoit XVI pour l’ouverture de l’année de la foi (2)

Benoit XVI inaugura « l’année de la foi

le 17 octobre 2012

en rappelant évidemment les thèmes centraux

de son motu proprio « les portes de la foi » 

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Au début de son discours 

il redéfinit la foi

puis parle du credo

et de la tradition comme il ne cesse de le faire

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Le  kérygme et le credo 

la foi c’st le kérygme

la foi c’est le credo  

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la foi dans Mystère de mort et de Résurrection.

. Tel est le kérygme, l’annonce centrale et impétueuse de la foi.

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 Mais où trouvons-nous la formule essentielle de la foi ?

 Où trouvons-nous les vérités qui nous ont été fidèlement transmises et qui constituent la lumière pour notre vie quotidienne ?

 La réponse est simple : dans le Credo,

et dans « le catéchisme de l’église catholique »

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C’est là que le bat blesse

le credo n’est pas l’évangile  

le credo est l’œuvre des conciles

or la foi c’est croire en Jésus Christ  

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Pourquoi donc Benoit XVI ne cesse de se reporter 

au credo et au catéchisme ?

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Déjà Il en était ainsi 

Il y a un an 

dans son motu proprio 

« La porte de la foi » 

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Le pape termine  quand même en disant

Nous devons,, revenir à Dieu, au Dieu de Jésus Christ,

 nous devons redécouvrir le message de l’Évangile,

le faire entrer de manière plus profonde dans nos consciences et dans la vie quotidienne.

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Lui même dans ses audiences sur la prière 

dans ses encycliques   

dans son livre «  Jésus de Nazareth » 

Il est tellement éloquent en parlant de Jésus Christ ! 

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Le relativisme

Une autre obsession de Benoît XVI est le relativisme

La veille du conclave

le cardinal Ratzinger  avait déjà prononcé un long discours sur ce relativisme

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 Nous vivons aujourd’hui dans une société profondément transformée, même par rapport à un passé récent, et en continuelle évolution. Les processus de la sécularisation et d’une mentalité nihiliste diffuse, dans laquelle tout est relatif, ont profondément marqué la mentalité commune. Ainsi, la vie est souvent vécue avec légèreté, sans idéaux clairs et sans espérances solides, à l’intérieur de liens sociaux et familiaux mouvants, provisoires.

  le relativisme conduit à ne pas avoir de points de référence, le soupçon et la légèreté provoquent des ruptures dans les relations humaines, alors que la vie est vécue dans le cadre d’expériences qui durent peu, sans prise de responsabilité. Si l’individualisme et le relativisme semblent dominer l’âme de nombreux contemporains, on ne peut pas dire que les croyants soient totalement immunisés contre ces dangers, auxquels nous sommes confrontés dans la transmission de la foi. L’enquête menée sur tous les continents pour la préparation du synode des évêques sur la nouvelle évangélisation, en a souligné certains: une foi vécue de manière passive et privée, le refus de l’éducation à la foi, la fracture entre vie et foi.

Souvent le chrétien ne connaît même pas le noyau central de sa propre foi catholique, du Credo, au point de laisser place à un certain syncrétisme et relativisme religieux,

 

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