Chateaubriand :le « génie du Christianisme » (4e partie ,livre 4 ) :la vie de Jésus Christ
Dans « le génie du Christianisme »
Chateaubriand montre avec jubilation
l’ influence du christianisme dans le monde
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C’est génial !
Grâce au christianisme
les sciences se sont répandues
Grâce au christianisme
les arts se sont épanouis
Grâce au christianisme
les hommes ont appris à se respecter
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Tout cela à cause de Jésus le fils du charpentier
Tout cela à cause de l’évangile du Christ
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Chateaubriand écrit
Voici que le fils d’un charpentier,
dans un. petit coin de la Judée,
est un modèle de douleurs et de misère
Il est flétri publiquement par un supplice
Il choisit ses disciples dans les rangs les moins élevés de la société;
Il ne prêche que renoncement aux pompes du monde,
au plaisir, au pouvoir
Il préfère l’esclave au maître,
le pauvre au riche, le lépreux à l’homme sain
Tout qui ce pleure, tout ce qui a des plaies,
tout ce qui est abandonné du monde fait ses délices
La puissance, la fortune et le bonheur sont au contraire menacés par lui.
Il renverse les notions communes de la morale;
Il établit des relations nouvelles entre les hommes,
Ses miracles, tiennent plus de la bonté que de la puissance.
Pour inculquer ses préceptes,
Il choisit l’apologue ou la parabole,
qui se grave aisément dans l’esprit des peuples.
En marchant dans les campagnes,il donne ses leçons.
En voyant les fleurs d’un champ, il exhorte ses disciples
à espérer dans la Providence,
qui supporte les foibles plantes et nourrit les petits oiseaux
En apercevant les fruits de la terre,
il instruit à juger l’homme par ses œuvres.
On lui apporte un enfant, et il recommande l’innocence
Se trouvant au milieu des bergers, il se donne à lui-même
le titre de pastewr des âmes,
et se représente rapportant sur ses épaules la brebis égarée.
Au printemps, il s’assied sur une montagne,
et au spectacle même de lae foule pauvre et malheureuse,
il fait naître ses béatitudes
Bienheureux ceux qui pleurent;
bienheureux ceux qui ont faim et soif, etc.
Quand il demande de l’eau à la femme de Samarie,
il lui peint sa doctrine sous la belle image d’une source d’eau vive.
Son caractère était aimable, ouvert et tendre,
sa charité sans bornes.
Il allait en faisant le bien.
Sa résignation à la volonté de Dieu éclate dans tous les
moments de sa vie;
il aimait, il connaissait l’amitié
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