La Sagesse (18, 14-16 ; 19, 6-9) : La libération
Un silence paisible enveloppait toute chose, et la nuit de la Pâque était au milieu de son cours rapide ; alors, du haut du ciel, venant de ton trône royal, Seigneur, ta Parole toute-puissante fondit en plein milieu de ce pays de détresse, comme un guerrier impitoyable, portant l’épée tranchante de ton décret inflexible. Elle s’arrêta, et sema partout la mort ; elle touchait au ciel et marchait aussi sur la terre. La création entière, dans sa propre nature, était remodelée au service de tes décrets, pour que tes enfants soient gardés sains et saufs. On vit la nuée recouvrir le camp de son ombre, on vit la terre sèche émerger là où il n’y avait eu que de l’eau ; de la mer Rouge surgit un chemin sans obstacles et, des flots impétueux, une plaine verdoyante. C’est là que le peuple entier, protégé par ta main, traversa en contemplant des prodiges merveilleux. Ils étaient comme des chevaux dans un pré, ils bondissaient comme des agneaux et chantaient ta louange, Seigneur : tu les avais délivrés.
Ce récit écrit un siècle avant Jésus Christ
est une méditation sur le miracle de la mer rouge
qui eut lieu ,lors de la sortie d’Egypte
au temps de Moïse .
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Un silence paisible enveloppait toute chose, et la nuit de la Pâque était au milieu de son cours rapide
Ce récit ressemble étonnamment à une prophétie
sur la passion de Jésus
qui, après avoir célébré la Pâque avec ses disciples,
se rendit la nuit dans le jardin de Gethsémani
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Gethsémani
alors, du haut du ciel, venant de ton trône royal, Seigneur, ta Parole toute-puissante fondit en plein milieu de ce pays de détresse,
Le Verbe de Vie
la parole toute puissante de Dieu
n’est ce pas Jésus Christ ?
Dieu au milieu de notre détresse
« Père, Père éloigne de moi ce calice »
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comme un guerrier impitoyable, portant l’épée tranchante de ton décret inflexible. Elle s’arrêta, et sema partout la mort ; elle touchait au ciel et marchait aussi sur la terre.
Jésus lutte contre le mal
non avec l’épée de Pierre
mais en faisant la volonté du père
« père non ce que je veux »
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Le salut
La création entière, dans sa propre nature, était remodelée au service de tes décrets, pour que tes enfants soient gardés sains et saufs. On vit la nuée recouvrir le camp de son ombre,
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La mer rouge
On vit la terre sèche émerger là où il n’y avait eu que de l’eau ; de la mer Rouge surgit un chemin sans obstacles et, des flots impétueux, une plaine verdoyante.
Grâce à la foi
Grâce à la grâce
Grâce à la crucifixion
on émerge
on respire
on retrouve la terre ferme
on retrouve l’espoir
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C’est là que le peuple entier, protégé par ta main, traversa en contemplant des prodiges merveilleux.
Le prodige de la résurrection
La merveille de l’Eucharistie
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Joie des croyants
joie de ceux qui croient au pardon
Ils étaient comme des chevaux dans un pré, ils bondissaient comme des agneaux et chantaient ta louange, Seigneur : tu les avais délivrés.
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