Henri Bremond (1865-1933)

H Bremond est né à Aix en Provence

là où l’air est embaumé par les multiples fleurs

qui s’épanouissent  sous le soleil

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Il aime sa Provence 

mais à l’âge de 17 ans il rentre chez les jésuites

qui sont alors en exil en Angleterre

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il quitte donc sa chère Provence

et s’engouffre dans épais les brouillards de l’Angleterre 

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Pendant ses études il s’ennuie

il est déçu

La théologie , les scholastiques ,saint Thomas

ou la spiritualité ignacienne 

c’est pas son truc !

C’est pas comme cà

qu’il pense assouvir sa soif de Dieu

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Par contre

Il apprécie l’humour des anglais

Il apprend leur langue

s’initie à leur littérature

et surtout il découvre Newman

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Avec les maîtres du mouvement d’Oxford

il se sent mieux !

C’est acquis, l’Angleterre est rentrée dans sa vie ; Ce pays devient son domaine  avec sa langue ,sa littérature  et l’humour par surcroit  p 19

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En 1892 ,Il est ordonné prêtre 

Rentré en France , il est professeur

et suit ,à l’institut catholique

les cours de Loisy

qui le séduit  

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En 1899 il  écrit dans la revue des études des articles souvent littéraires

mais sympathise peu avec les autres rédacteurs qu’il trouve  peu ouvert aux idées nouvelles

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en 1900 Bremond  rencontre Maurice Barrès à Athènes et resta ami avec lui jusqu’à la mort  de l’écrivain en  décembre 1923 

Ce fut une longue et chère amitié ,nouée il y a 24 ans dans les rue d’Athènes et qui est resté depuis ,bien mieux  qu’une  de  mes fierté ,une de mes joies les plus bienfaisantes  

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En 1902  quand le livre de Loisy « l’évangile et l’église » est condamné

Bremond blêmit

il ne comprend pas 

En 1903 il rencontre Fogazzaro le célèbre  écrivain qui vient d’écrire un  roman « il santo » «  sur les modernistes

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Peu à peu l’inquiétude monte en lui

en 1904 il était lui même exclus des jésuites

en 1913 son livre sur sainte Chantal est mis à l’index  

c’est la crise !

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Histoire littéraire du sentiment religieux 

écœuré, il se retire dans un petit village dans les Pyrénées

et commence  à écrire  son « histoire littéraire du sentiment religieux »

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Académicien

 en 1922 ,il trouve enfin la gloire et est élu à l’académie française

Pendant quelques années

happé par la notoriété, il n’aura plus guère le temps de continuer son histoire littéraire

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Ses dernières années 

A partir de 1928 ,il se remet sérieusement au travail

et  publie   2 autres livres de son histoire  littéraire

qu’il appelle la « métaphysique des saints  

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Il meurt en 1933

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