Job (Ch.4 à 7): Pourquoi la souffrance ? Réponse d’Eliphaz
Après avoir tout perdu
sa fortune
sa famille
sa santé
Job se plaint
Pourquoi donc un telle souffrance ?
3 sages vont tenter de lui répondre
dont Eliphaz
Eliphaz : Dieu est juste
Eliphaz est un sage
il s’excuse de prendre la parole
c’est un homme âgée qui parle d’expérience
Dieu est juste mais il nous éprouve
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Eliphaz lui dit (ch 4)
Te met-il pour une fois à l’épreuve, tu fléchis ! Tu t’es fait l’éducateur des foules,
tu savais rendre vigueur aux mains lasses….Que maintenant cela t’arrive, c’est toi qui fléchis.
Les justes ne sont pas exterminés
et les mortels peuvent ils être justes ?
Le mortel serait-il plus juste que Dieu, l’homme serait-il plus pur que son auteur ?
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Confiance
Quant à moi, je m’adresserais à Dieu,c’est à Dieu que j’exposerais ma cause.
La souffrance n’est pas, une punition
c’est un épreuve qui nous purifie !
c’est un bienfait !
Vois : Heureux l’homme que Dieu réprimande !
C’est lui qui, en faisant souffrir, répare ,lui dont les mains, en brisant, guérissent.
La réponse de Job à Eliphaz (ch 6)
Ce que dit Eliphaz semble raisonnable
mais quand un homme souffre
peut il comprendre des paroles de sagesse
aussi Job continue à se plaindre
Il se révolte !
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Job accuse Dieu
Que Dieu daigne me broyer, qu’il dégage sa main et me rompe !
Personne pour aider le pauvre
Quelle est ma force pour que je patiente ?Serait-ce donc le néant, ce secours que j’attends ?
Toute ressource m’a-t-elle échappé ?
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Les sages ne comprennent pas
Ils disent n’importe quoi !
Eclairez-moi, et moi je me tairai.En quoi ai-je failli ? Montrez-le-moi !
…D’ailleurs, une critique venant de vous, que critique-t-elle ?
..Vous iriez jusqu’à tirer au sort un orphelin,à mettre en vente votre ami.
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Y a-t-il de la perfidie sur ma langue ?
Mon palais ne sait-il pas discerner la détresse ?
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La prière (ch 7)
Job se révolte,
Il ne comprend pas
mais il croit en Dieu et s’adresse à lui
S’il a fauté dieu ne peut il pas pardonner
Ai-je péché ? Qu’est-ce que cela te fait,…? Pourquoi m’avoir pris pour cible ?
En quoi te suis-je à charge ? Ne peux-tu supporter ma révolte, laisser passer ma faute ?
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Pourtant Eliphaz lui a bien ditt
que sa souffrance n’était pas une punition
mais une épreuve et une purification
Heureux l’homme que Dieu réprimande !
C’est lui qui, en faisant souffrir, répare,lui dont les mains, en brisant, guérissent.
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