Audience du pape en 2017 : l’espérance

 

Audience du 12 Avril 

Regarde la croix

. Si l’un de vous demande: «Comment naît l’espérance»?

«De la croix?

Regarde la croix, regarde le Christ crucifié et de là t’arrivera l’espérance qui ne disparaît plus, celle qui dure jusqu’à la vie éternelle». Et cette espérance a germé précisément par la force de l’amour:

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Sur la croix, notre espérance est née et renaît toujours;

voilà pourquoi avec Jésus, chacune de notre obscurité peut être transformée en lumière,

chaque échec en victoire,

chaque déception en espérance.

Chacune: oui, chacune.

L’espérance surmonte tout, parce qu’elle naît de l’amour de Jésus qui s’est fait comme le grain de blé tombé en terre et qui est mort pour donner vie et de cette vie pleine d’amour vient l’espérance.

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Audience du 19 Avril ;Tout est grâce  

regarde la tombe

Tout est grâce !

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Qu’il est beau de penser que le christianisme est essentiellement cela!

Ce n’est pas tant notre recherche à l’égard de Dieu — une recherche, à la vérité, si tâtonnante —,

mais plutôt la recherche de Dieu à notre égard.

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Un cœur émerveillé

 Jésus nous a pris,

 il nous a saisis,

 il nous a conquis pour ne plus nous laisser.

 Le christianisme est grâce, il est surprise,

et c’est pourquoi il présuppose un cœur capable d’émerveillement.

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 Un cœur fermé, un cœur rationaliste est incapable d’émerveillement,

 et ne peut pas comprendre ce qu’est le christianisme.

Parce que le christianisme est grâce,

et elle se rencontre dans l’émerveillement de la rencontre.

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Le tombeau :une  grâce ?

Le matin de Pâques, nous pouvons faire comme ces personnes dont parle l’Evangile: aller au tombeau du Christ, voir la grande pierre roulée et penser que Dieu est en train de réaliser pour moi, pour nous tous, un avenir inattendu.

Aller à notre tombeau: nous en avons tous un petit en nous.

Aller là, et voir que Dieu est capable de ressusciter de là.

 Là, il y a le bonheur,

là, il y a la joie, la vie, où tous pensaient qu’il n’y avait que la tristesse, la défaite et les ténèbres.

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: «O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?» (v. 55).

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Marie est la mère de l’espérance

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