Le pape François : Images employées dans ses homélies
La maladie d’« Alzheimer spirituelle »,
C’est la perte de la mémoire …..on a oublié la ferveur de notre jeunesse.. notre générosité d’antan …on a oublié de tout donner….on a oublié de faire confiance
Nous détectons cette maladie chez ceux qui ont perdu la mémoire de leur rencontre avec le Seigneur ; (voeu à la curie romaine noel 2014)
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Nous devons vivre la foi avec un cœur jeune, toujours :
un cœur jeune, même à soixante-dix ou quatre-vingts ans !
Cœur jeune ! Avec le Christ, le cœur ne vieillit jamais !(dim des rameaux 2013)
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Chers frères!
J’ai lu un jour que les prêtres sont comme les avions :
ils ne font la une des journaux que lorsqu’ils tombent, mais il y en a beaucoup qui volent. (curie 2014)
« Comme un animal mort pue, , la société corrompue pue ».(A Naples 2015)
la mafia …
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L’Église ? Un hôpital de campagne
« Je vois avec clarté que la chose dont a le plus besoin l’Église aujourd’hui
c’est la capacité de soigner les blessures et de réchauffer le cœur des fidèles, la proximité, la convivialité. Je vois l’Église comme un hôpital de campagne après une bataille.
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L’ancre
Notre foi est l’ancre au ciel. Notre vie est ancrée au ciel. Que devons-nous faire? Nous agripper à la corde: elle est toujours là. Et nous allons de l’avant car nous sommes certains que notre vie a comme une ancre dans le ciel, sur la rive où nous arriverons.(audience du 27 avril 2017)
La voile de l’espérance
L’espérance est véritablement comme une voile; elle recueille le vent de l’Esprit Saint et le transforme en force motrice qui pousse la barque, selon les cas, au large ou vers le rivage.( 31 mai)
De l’huile ou du vinaigre ?
Le Chrétien sème l’espérance: il sème l’huile de l’espérance,
et non pas le vinaigre de l’amertume et du dés-espoir.(31 mai 2017
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Au cours de son audience du 23 Aout 2017 , le pape François nous a surpris par son langage à la fois très familier et très poétique pour nous parler de la vie éternelle
Les cochons
Il n’est pas chrétien de marcher le regard tourné vers le bas — comme le font les cochons: ils avancent toujours ainsi — sans lever les yeux vers l’horizon. Comme si tout notre chemin finissait ici, en l’espace de quelques mètres de parcours; comme si dans notre vie, il n’y avait aucune destination ni aucune escale, et que nous étions contraints à errer
des personnes du printemps
Les bourgeons d’un monde nouveau Nous croyons et nous savons que la mort et la haine ne sont pas gagnante Etre chrétiens implique un regard plein d’espérance.
Nous chretiens Nous sommes davantage des personnes de printemps que d’automne. … Nous percevons les bourgeons d’un monde nouveau plutôt que les feuilles jaunies sur les branches. Nous ne nous berçons pas de nostalgie, de regrets et de plaintes: nous savons que Dieu veut que nous soyons les héritiers d’une promesse et d’inlassables cultivateurs de rêves «Suis-je une personne de printemps ou d’automne?»
... De printemps, qui attend la fleur, qui attend le fruit, qui attend le soleil qui est Jésus, ou d’automne, qui a toujours le visage tourné vers le bas, aigri et, comme je l’ai dit parfois, le visage des pisse vinaigre. Le chrétien sait que le Royaume de Dieu, sa Seigneurie d’amour croît comme un grand champ de blé, même si au milieu, se trouve l’ivraie. Il y a toujours des problèmes, il y a les commérages, il y a les guerres, il y a les maladies… Il y a des problèmes. Mais le grain croît, et à la fin, le mal sera éliminé.
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le baiser de Dieu
L’avenir ne nous appartient pas, mais nous savons que Jésus Christ est la plus grande grâce de la vie: il est le baiser de Dieu qui nous attend à la fin, mais qui nous accompagne dès à présent et nous réconforte sur le chemin. Il nous conduit à la grande «demeure» de Dieu avec les hommes (cf. Ap 21, 3), avec nos nombreux autres frères et sœurs, et nous apporterons à Dieu le souvenir des jours vécus ici-bas.
Et il sera beau de découvrir en cet instant que rien ne s’est perdu, aucun sourire, aucune larme. Même si notre vie a été longue, il nous semblera l’avoir vécue dans un souffle.
.. Oui, notre Père est le Dieu des nouveautés et des surprises. Et ce jour-là, nous serons véritablement heureux, et nous pleurerons. Oui: mais nous pleurerons de joie.
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les «chrétiens garés»,
qui «se garent, des chrétiens dans des cages qui ne savent pas s’envoler en rêvant à cette belle chose à laquelle le Seigneur nous appelle».
(ste Marthe Mars 2018)
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par la lecture de l’évangile
« murir » et non pas pourrir
mûrir ce serait accepter l’injustice, croire que nous ne pouvons rien faire, que tout a toujours été comme ça.
Mûrir, la vraie maturité, c’est de poursuivre vos rêves, vos aspirations, ensemble, en vous soutenant mutuellement, en discutant entre vous, mais en regardant toujours devant, non pas en baissant
(aux jeunes du Chili 2018)
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