Felwine Sarr né en 1972
Felwine Sarr
né en 1972 ,il est un écrivain économiste universitaire et musicien sénégalais.
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Ecrivain
En 2009 il publie son livre « Dahij » considéré comme un OVNI littéraire selon la critique, un « djihad intérieur » selon lui-même.
Puis en 2012 les « Méditations africaines » (Mémoire d’encrier, 2012),
et « Afrotopia »
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Musicien
il a publié 3 albums de musique
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Libraire et éditeur
Avec Boubacar Boris Diop et Nafissatou Dia Diouf, il a repris la Librairie Athéna située dans le centre-ville de Dakar.
Ils comptent publier des œuvres de littérature africaine anglophone ou lusophone, et rééditer des ouvrages d’auteurs sénégalais. «Nous voulons enrichir le stock et le réorienter afin que toute la littérature africaine et sénégalaise soit disponible dans cette librairie. Nous venons d’ailleurs de nouer un partenariat avec ‘‘Présence Africaine’’.
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Cette librairie a-t-elle de l’avenir ?
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Les ateliers de la pensée
Felwine Sarr est Professeur à l’université Gaston-Berger où il dirige le Laboratoire de recherche en économie de Saint-Louis (LARES), et y organise les Ateliers de la pensée
Il organise en 2016 avec le philosophe camerounais Achille Mbembe la première édition annuelle des Ateliers de la pensée (28-31 octobre) à Dakar et Saint-Louis (au Sénégal).
L’objectif : faire le point sur l’état de la réflexion en Afrique, avec une vingtaine de chercheurs et d’écrivains d’expression française parmi lesquels Léonora Miano, Souleymane Bachir Diagne, Mamadou Diouf, Nadia Yala Kisukidi, Boubacar Boris Diop, Romuald Fonkoua, Alain Mabanckou, Abdourahman Waberi et Sami Tchak.
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Penser l’Afrique en tant qu’africain
Dans un article du « Monde »,publié en 2015
Il tente de répondre à la question
Comment penser l’Afrique et se penser en tant qu’Africain autrement ?
« Pour penser l’Afrique autrement, j’évoque une « rupture radicale » dans nos postures, nos paradigmes, nos façons de nous lire à travers les yeux de l’autre.
…nos intellectuels s défendent l’islam comme socle de leur identité fondamentale, et non la culture négro-africaine. Ils oublient qu’ils sont pris en tenaille entre deux aliénations, avec un pied en occident et un pied en orient, sans savoir où est leur tête.
Cette situation est assez symptomatique d’une forme de schizophrénie que nous vivons sous nos latitudes.
Aucun futur n’est envisageable si les Africains ne pensent pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes leur présent et leur devenir
La liberté doit être une passion africaine désormais, parce que le continent en a été privé deux fois, ces cinq derniers siècles, avec la traite et la colonisation. On ne peut pas continuer d’être à la remorque des rêves des autres.
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Il invite les penseurs Africains à repenser des notions africaines comme le jom (« dignité »), teranga (« hospitalité »), le ngor(« sens de l’honneur »)… en délaissant les chemins tracés d’avance et les idées toutes faites
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D’autres engagements .
En Février 2018 il fait parti des signataires d’une lettre qui réclame la liberté de Tariq Ramadan
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En fin 2018 il est chargé par le gouvernement du président Macron de superviser la restitution des œuvres d’art aux Africains
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