Kenya :Les stratégies économiques des divers présidents
Jomo Kenyatta,
Il devient le premier président du Kenya en 1964
et nomme Thomas Mboya en tant que ministre de l’économie
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Thomas Mboya (1930-69)
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Celui choisit pour modèle des pays qui ont « réussi » leur révolution industrielle ,c’est à dire les Etats-Unis et la grande Bretagne
Efficace, il fut malheureusement assassiné
mais ces successeurs suivront ses directives
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Daniel Arap Moi
président de 1978 à 2002
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Il fut un mauvais gestionnaire
plus préoccupé à garder son pouvoir que par le développement de son pays
Il se contentait de recevoir de l’aide venue d’occident
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Ce fut le temps où les groupes ethniques et autres puissance économiques se disputaient avant tout pour avoir le contrôle des ressources nationales
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Mwai Kibaki
Ancien vice-président de Moi, est élu Président à une large majorité en 2002
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Kibaki en veut !
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Le projet Vision 2030
En 2008 il lance un grand projet
avec l’aide des hauts fonctionnaires et des hommes d’affaire qui eux mêmes avaient pour conseiller
des experts venus d’Asie du Sud Est en particulier de Singapour et la Malaisie
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Ces 2 pays ont commencé à se développer à partir des années 1970
alors que le Kenya indépendant depuis 1964 stagne toujours
comment ont-ils fait ?
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Les économistes de ces pays ont d’abord chercher à
« créer des richesses plutôt qu’à répartir ces richesses »
des richesses qui permettent le développement du pays mais bien souvent au dépend des hommes les plus pauvres
C’est la fameuse doctrine du « ruissellement » si chère à Macron
Le résultat fut spectaculaire à Singapour et en Malaisie
ce fut le projet « vision 2030 » pour le kenya
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En décembre 2007, Mwai Kibaki est de nouveau réélu
Son principal opposant,est Raila Odinga
depuis lors le projet continue à avancer ,mais est souvent ralenti par les disputes entre les partis entre Raila Odinga et Kibaki puis encore Raila Odinga et Uhuru kenyata qui est président depuis 2013
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Les progrés de la « Vision 2030 »
En 2008, la mise en place de la stratégie Vision 2030, en permettant le développement des infrastructures, a permis de doubler le rythme de croissance annuel depuis le début des années 2000 ; mais les fruits de la croissance sont très inégalement répartis sur le territoire.
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