Mahamat Saleh Haroun cinéaste tchadien témoin de son temps

Mahamat Saleh Haroun cinéaste tchadien témoin de son temps,né en 196o au Tchad  puis vivant en France

Un militant qui a l’audace d’aborder des sujets brûlants

un témoin de son temps

le vie au Tchad

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1994   Maral Tanié

C’est l’histoire du mariage forcé de la jeune Halimé avec un homme d’une cinquantaine d’années. Contrainte par ses parents au mariage, la jeune femme se refuse à son mari.

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1999  Bye Bye Africa,

,il filme un pays exsangue d’où la guerre a chassé le cinéma. Il constate que la plupart des salles de projection ont été détruites, que les rares appareils de projection sont vétustes, que les bobines sont souvent abimées et jamais renouvelées.

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2010 Un homme qui crie

Ce long-métrage raconte l’histoire tragique d’un homme et de son fils que la guerre civile au Tchad va séparer.

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Ce film, remporta le Prix du Jury à Cannes

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Un an plus tard, Mahamat Saklet Haroun  est de retour sur la Croisette.en tant que membre du jury des longs métrages,

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2013 Grisgris

Quelle tristesse  dans la misère !

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2016  Hissein Habré, une tragédie tchadienne »

Emprisonnés et torturés au Tchad sous le régime despotique de Hissein Habré (de 1982 à 1990), des hommes et femmes témoignent de l’enfer qu’ils ont traversé et de leur combat pour la justice.

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Mahamat Saleh Haroun a été ministre du développement touristique de la culture et de l’artisanat du Tchad du 05 février 2017 au 08 février 2018

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2018 une saison en France

Dans ce film, le cinéaste Mahamat Saleh Haroun évoque le sort de ces milliers de demandeurs d’asile vivant dans la clandestinité en France, parfois pendant des années.

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Cet article a été publié le 18 mars, 2019 à 14:39 et est catégorisé sous Cinéma Africain, Tchad. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.