Bouyé Haïdara le Chérif de Nioro et le mouvement Sabati 2012 au Mali
le Mouvement Sabati 2012 a été créé en 2012 par des jeunes musulmans soucieux de la stabilité du pays.
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Bouyé ,le chérif de Nioro
Le Président du mouvement, Sabati 2012 est Moussa Boubacar Bah
mais le guide spirituel est le Chérif de Nioro, Chérif Mohamed Ould Cheicknè dit Bouyé,
qui lui même a pris pour modèle Abubakar Gumi du Nigeria ,qui encourageait les musulmans à faire de la politique
« Un musulman qui fait de la politique a davantage d’influence qu’un écrivain qui publie des ouvrages savants sur la religion
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En 2013 Bouyé a défendu la candidature de Ibrahim Boubacar Kéita ( IBK) à la présidence de la république
Avant de choisir un président les jeunes du mouvement Sabati 2012 avait décidé de se rendre chez leur guide, le chérif de Nioro afin d’être conseillé par lui
Moussa Boubacar Bah, leur président était à la tête d’une délégation de près de 100 personnes,
Quand le chérif arriva sous les applaudissements de ses fidèles, tous voulaient le toucher des mains pour avoir sa bénédiction.
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Depuis sa création, le mouvement siégeait au sein du Haut Conseil Islamique
mais le 17 mars 2018 , Mousssa Boubakar Bah inaugure une nouveau siège en présence de leaders religieux, d’hommes politiques et du ministre des Affaires Religieuses et du Culte,
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Ce jour là le président de Sabati 2012,
rappelle que son mouvement se caractérise
par l’amour de la patrie,
la pratique de la religion musulmane,
le respect de la dignité
et le désir du vivre ensemble dans une communauté.
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Le 5 avril 2019
après le massacre d’Ogossagou, tous y compris Bouyé réclament le départ d’ IBK
plus de 10 000 citoyens ont répondu à l’appel des très influents religieux musulmans Mahmoud Dicko et Bouyé Haïdara, vendredi 5 avril. Autour du président du Haut Conseil islamique du Mali (HCIM) et du chérif de Nioro-du-Sahel, la diversité des messages inscrits sur les panneaux témoignait d’un ras-le-bol généralisé dépassant le cadre sécuritaire. « Barkhane et Minusma allez-vous en de chez nous », « les enseignants, les médecins et les cheminots en grève, mais IBK s’en fout », « 0 sécurité », « IBK dégage », pouvait-on lire au-dessus des milliers de bras tendus.
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