Discours du président Macron à Ouagadougou

Discours tenu à Ouagadougou ,le 28 novembre 2017,

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 ce jour là ,le président Macron déclare

 l’Afrique n’est ni un continent perdu, ni un continent sauvé. Je considère que l’Afrique est tout simplement le continent central, global, incontournable car c’est ici que se télescopent tous les défis contemporains.  ….C’est en Afrique que se jouera une partie du basculement du monde...si nous sommes à la hauteur de ce grand moment de bascule que nous sommes en train de vivre, alors ici se jouera une partie de la croissance du monde….Ce combat est  le combat  de la jeunesse africaine

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Pour ce combat en partenariat  avec les africains le président Macron organise  un conseil présidentiel ,  participe à une alliance pour le sahel ,et à un sommet antre l’Europe et l’Afrique

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 Conseil présidentiel pour l’Afrique. CPA

Ce sont des jeunes femmes et de jeunes hommes qui ont accepté de prendre sur leur temps …pour être, en quelque sorte, vos porte-voix, pour venir à la rencontre, pour venir écouter, partager leur expérience….Me dire ce qui se dit, ce qui se ressent, ce qui se veut, ce qui est attendu, ce qui est nécessaire..

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L’alliance pour le sahel

Pour poursuivre des projets dont les Africains ont besoin. L’Alliance pour le Sahel lancée en juillet dernier,  associe l’Allemagne, l’Union européenne, la Banque africaine de développement, la Banque mondiale et le PNUD avec l’ensemble des membres du G5 Sahel. Et elle permet de manière beaucoup plus efficace, avec méthode, d’intervenir ainsi sur le terrain.

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 Sommet entre l’Europe et l’Afrique à Abidjan.(29 Novembre 2017)

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C’est un changement de méthode que nous avons ainsi commencé et qui doit se poursuivre de manière indispensable, où nous devons être plus efficace, plus au contact des besoins du terrain,

 Parfois, notre aide publique au développement ne répond pas aux besoins. Elle fait plaisir à des gouvernements français ou africains. C’est une mauvaise méthode. Elle doit être évaluée ; elle doit être évaluée. Si elle est efficace, il faut la poursuivre. Si elle ne l’est pas, il faut la réorienter vers des projets portés sur le terrain et des projets que nous accompagnerons. C’est cette nouvelle philosophie, cette nouvelle volonté qui accompagnera l’engagement ferme en termes de financement pris par la France.

 mais que de défis à relever

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ce sont des défis que devront relever la jeunes africains

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Macron parle ensuite  d’économie

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Il propose d’organiser en France une année sur la culture africaine

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Cet article a été publié le 5 août, 2019 à 11:55 et est catégorisé sous Burkina faso. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.