15é vendredi ordinaire : Ezechias fondit en larmes (Isaïe 38, 1-9)
En ces jours-là, le roi Ézékias souffrait d’une maladie mortelle. Le prophète Isaïe, fils d’Amots, vint lui dire : « Ainsi parle le Seigneur : Prends des dispositions pour ta maison, car tu vas mourir, tu ne guériras pas. » Ézékias se tourna vers le mur et fit cette prière au Seigneur : « Ah ! Seigneur, souviens-toi ! J’ai marché en ta présence, dans la loyauté et d’un cœur sans partage, et j’ai fait ce qui est bien à tes yeux. » Puis le roi Ézékias fondit en larmes. La parole du Seigneur fut adressée à Isaïe : « Va dire à Ézékias : Ainsi parle le Seigneur, Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière, j’ai vu tes larmes. Je vais ajouter quinze années à ta vie. Je te délivrerai, toi et cette ville, de la main du roi d’Assour, je protégerai cette ville. » Puis Isaïe dit : « Qu’on apporte un gâteau de figues ; qu’on l’applique sur l’ulcère, et le roi vivra. » Ézékias dit : « À quel signe reconnaîtrai-je que je pourrai monter à la maison du Seigneur ? – Voici le signe que le Seigneur te donne pour montrer qu’il accomplira sa promesse : Je vais faire reculer de dix degrés l’ombre qui est déjà descendue sur le cadran solaire d’Acaz. » Et le soleil remonta sur le cadran les dix degrés qu’il avait déjà descendus.
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Une ombre qui passe
le roi de Jérusalem est malade
une maladie mortelle ,un ulcère
tandis que le roi d’ Assyrie menace Jérusalem
la ville de la paix
C’est comme une ombre qui passe sue le cadran solaire
l’ombre du mal qui nous cache la lumière divine
l’ombre qui est déjà descendue sur le cadran solaire d’Acaz.
le roi pleure
nous aussi
la tristesse ,le découragement, la fatigue la vieillesse
notre peu de foi ,nos fautes
autant d‘ombre qui nous cache le soleil
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Les femmes sur la route du calvaire ont pleuré
elles ne reconnaissait plus leur sauveur
Jésus se tourna vers elles, et dit: Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi; mais pleurez sur vous et sur vos enfants
pleurons notre peu de foi
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Jésus pleure sur Jérusalem
la ville de la paix
cette paix que nous perdons quand nous manquons de foi
Bienheureux ceux qui pleurent ..Il seront consolés
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Evangile :Matt. (12, 1-8)
Un jour de sabbat, Jésus vint à passer à travers les champs de blé ; ses disciples eurent faim et ils se mirent à arracher des épis et à les manger….: Je veux la miséricorde, non le sacrifice,
Le bonheur de jeunes gens qui un jour d’été se promenaient dans un champ de blè
tout en grignotant
la joie de jeunes qui ont la foi
et la paix qui s’ensuit
et le soleil remonta sur le cadran les dix degrés .
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