Ramita Navai : « Vivre et mentir » à Téhéran : Drogue et sexe
Le roman de Ramita Navai « Vivre et mentir à Téhéran » est un véritable documentaire sur le vie à Téhéran depuis la révolution de Khomeni en 1979
A Téhéran il n’y a pas un recoin où l’on achète et ne vend pas de l’alcool …La plupart de ces produits viennent d’Erbil en Irak (p162)
A la fin des année 1980, l’économie du Japon était devenue florissante et les iraniens étaient prêts à y proposer leur service pour une bouchée de pain. Les milieux interpoles japonais fourmillaient d’escrocs et de maquereaux iraniens …(p167)
Rien ne peut dissuader les iraniens du plaisir de piqueniquer (p 180)
A Chafar Dongay on trouvait de tout.. les femmes et la drogue ..Les épiciers vendaient encore de l’opium comme du petit lait
Les rappeurs : Hichkas
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Bienheureux à Téhéran …une ville de tentation qui t’aspire l’âme (p182)
Le vendredi pour fêter le week end, ils allaient pique-niquer au parc Mellat sur Vali Asr (p186)
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Tous dépensaient des sommes folles pour des opérations de chirurgie esthétiques : Avoir le nez refait était un must (p188)
Téhéran est une ville où il est difficile d’échapper au sexe .Les rues regorgent de filles qui font commerce de leur corps et se fondent dan le paysage …malgré la peur des 90 coups de fouet (p193 )
La prostitution est omniprésente ..L’âge moyen des filles étant de 16 ans (p194)
Ma fille ! A partir du moment où les rapports entre un homme et une femme ont la bénédiction de Dieu, ils n’ont aucun caractère d’immoralité .il te suffit de te marier pour un brève instant en disant : « Je te marie pour une durée brève..( p 209)
Des hommes bons dont certains avaient été des architectes de la république islamique était aujourd’hui en prison ou en liberté conditionnelle pour avoir oser critiquer le régime ou le guide suprême (p211)
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