Djemilla Benhabib : Ma vie à contre Coran

En conclusion de  son livre «Ma vie à contre courant » Djemilla Benhabib écrit

 Ma seule motivation à écrire ce livre était  de permettre à chacun de nourrir sa propre réflexion  sur l’islamisme politique  et de rendre l’expérience algérienne plus compréhensible (p316)

 Je croyais qu’en Occident plus rien ne pouvait contrarier la liberté. J’espérais  pouvoir y vivre une vie « normale » sans trop d’histoire comme tout à chacun …J’avais tout faux . Cet Occident que je croyais au-dessus de toute menace islamiste était tout aussi vulnérable que l’Orient (p 317)

 Je n’ai pas honte d’être né femme …Les islamistes  rendent les femmes coupables de leurs désirs ,de leurs misères ;Ce sont des malades du sexe .La haine et la soumission des femmes cristallisent leur idéologie  (p317)

 

Tout le long de ce livre ,j’ai montré quel est le prix à payer pour la liberté. Avec l’affaire des caricatures  nous avons constaté comment les islamistes ,relayés par des Etats puissants  tel que l’Arabie saoudite  l’Egypte  ,la Turquie ont fait  pression sur l’ Union Européenne  pour limiter la liberté d’expression

 …Je sais le prix de la compromission et des tergiversations avec les islamistes (p318)_

 

Des politiciens entretiennent des relations louches  avec des prédicateurs islamiques qui se sont autoproclamés leaders, imans représentants ou porte parole musulmans (p324)

 Si nos politiciens connaissaient réellement la grand richesse et la diversité des citoyens de foi et de cultures musulmanes ,ils seraient surpris de l’impopularité de ces imposteurs communautaires, Ce sont que des escrocs, des charlatans, des menteurs ,des manipulateurs , des hypocrites ;Rien d’autre (p325)

 

L’Islamisme est un des plus grands dangers de notre siècle .Je l’ai vécu  Je l’ai subi Je sais de quoi les fous d’Allah sont capables (p327)

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