Nahal Tajadod : La littérature et les arts au temps du Shah

  La littérature et  les arts selon Nahal Tajadod dans son roman «  debout sur la terre 

 

Ensiyeh

Cette jeune fille   d’un général  kurde et  chef traditionnel de sa region

tout en respectant les traditions

était férue de littérature 

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Le Shahnameh

Elle connait par cœur  le shahnameh

 en particulier le chapitre concernant  la naissance de Rostam (p81)

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 Elle en récita un court passage devant le shah lui même

Observe ce qu’il y a dans le monde …il y a un temps pour ramasser, il y a un temps pour dépenser ??Recherche les enfants sans  mère ,les veuves sans abri ..ouvre pour eux la porte du trésor (p 212)

Elle rêvait faire du théâtre et connaissait  « la maison de poupée »  mis en scene par Meyerhold (p 82)

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Plus tard 

« elle joue » comme Nahal Tajhod elle même

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elle vénère Vahram Papazian,  un acteur arménien connu pour ses rôles dans des pièces de William Shakespeare

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avec ses amis ,elle se rendait  au festival de Shiraz…j’y ai même vu Corbin y sortir son calepin (p249)

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elle y rencontre  Bahman Ghobadi un scénariste kurde iranien

Il  revient de la Mecque ..peut parler intimement de Jésus Christ ..Il connaît les 108 noms de Shiva (p251)        

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Elle écoute Ghamar qui chante  

O Rossignol à plumes nouées ,quitte la cage..et chante  l’hymne de la liberté des hommes (p207)  

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puisque depuis 1935 un décret interdit le port du voile pour les femmes et l’obligation de porter un habit pour les hommes.

Elle écoute à la radio les chants de Badizadesh

Arriva l’automne dans le jardin de notre liaison

 et la séparation mit le feu à mon âme

va ! toi qui est exempt de tendresse

va !toi qui ne connaît pas la fidélité (p216)

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Elle se rend  dans la  région des ses ancêtres, la province de Mazandernan

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dont la capitale est Sari

A Sari ,des ouvriers  y avaient déterrés des plats en argent représentant  des scènes de chasse des rois sassanides datant du 3é Siècle (p223)

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Hafez

celui qui l’avait le plus marquée à son cours de littérature  

« Monde et œuvre du monde ,tout cela n’est rien dans le rien (p242)

 

Nima le maitre de la nouelle poesie (p 258) 

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nous jouissons de tresors  inimitables comme hafez et Khayyam

« colore de vin le tapis de prière si le maître des mages te l’ordonne (p 258) 

Cet article a été publié le 31 août, 2020 à 5:41 et est catégorisé sous Iran, Tajadod Nahal. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.