Khoury –Ghata : Le moine ,l’ottoman et la femme du grand argentier(2)

Son roman raconte l’histoire d’un moine à la recherche d’une femme qui a quitté son mari , le grand argentier

  Les femmes

L’enfer décrit par l’évangile  c’est finalement l’amour d’une femme (p 11)

Les amants entre-déchirent .Leur amour est fait de conflits, de doutes, de disputes et de réconciliation .Fait de sérénité et de confiance l’amour de Dieu semble bien fade(p 32)

 La religion  n’ a jamais empêcher un homme de bander .La preuve ,Mahomet,  qu’Allah l‘inonde de ses bienfaits ,Il a eu  4 épouses et les a toutes honorées  (p34)

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La sourate IV verset 3 donne à l’ homme l’autorité sur les femmes …Ils ont le droit de les battre .D’ailleurs  les femmes sont battues partout dans le monde sans qu’aucune loi ne le dise…Seuls les occidentaux et les impies  le conteste   .. l’armée et les femmes c’est pareil ; Les deux doivent obéissance (p 43)

 Une femme répudiée c’est pareille à un arbre déraciné  .Elle doit disparaitre du paysage ,sinon elle pourrit sur place une femme n’existe que par ses enfant. Elle est mère ou  elle est rien ..p48)

 Le mariage par « mitta »  c’est pour le plaisir ,non pour la durée et la procréation..C’est comme si on louait un service pour un temps donné (p71)

 Le musulman a tendance à mépriser la femme avachie par les maternités ;Il la traite comme un animal domestique ,le fouet dans la main…Nullement plus nantie  la chrétienne doit lutter contre les diktats d’une église qui enchaine les époux jusqu à la mort (P120)

 Les mosquées  sont réservées aux hommes ; les femmes prient chez elles ….le paradis lui aussi  doit être réservé sans doute aux hommes (p137)

  Jésus n’avait qu’un seul désir ,mourir pour expier nos fautes Allah n’a pas le droit d’être humble. Jésus était Dieu, fils de Dieu , un point c’est tout !La preuve il a parlé une minute après sa naissance, c’est écrit noir sur blanc  dans le coran.Les chrétiens l’on rapetissé  l’ont affaibli dans vos écrits ..L’Islam le magnifie ( p 64)

je prie par cœur le coran , alors que l’évangile demande à être lu (p69)

  Les soufis

J’ai regardé dans un miroir  sans pourvoir franchir les contours de mon image

Je vins en Dieu proclamer ma soumission ..

en moi s’est éclipsé ce qui témoigne de mon être

J’étais  si près que j’avais oublié mon nom 

(Hallaj ) (p85)

 

Quel profit l’univers doit il à ma naissance

A ma mort quelle perte aura t il à subir

Pourquoi suis-je venu ?

Pourquoi dois-je partir ?

(Khayyam) (p86)

  le derviche qui danse « levite » il se vide de toutes ses pensées pour que son âme s’allège et se relève vers son créateu (p87)  

Le  purgatoire c’est comme une salle d’attente …il faut  payer des messes ,acheter des cierges  pour sauver les âmes et faire pencher la balance du bon côtè (p108)

 Le moine se demande si le vrai Dieu n’est finalement pas celui des derviches,  ni protecteur  ,ni justicier, mais musicien jouant de la luth à la tête des anges dont Gabriel le ventre  du luth est pareille au ventre affamé du croyant (p 119)

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Istambul

ville des princes  des pachas et des sultans Les arméniens y sont les bienvenues  ..Normal ! Ils sont travailleurs  (p139)

Les kurdes ne sont pas aimés ;Ils mangent le vert et le sec,  aussi nombreux que les sauterelles ; même la montagne les fuit..(p141) 

Cet article a été publié le 2 septembre, 2020 à 13:40 et est catégorisé sous Iiban, Khoury-Ghata. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.