Elif Shafak : Les locataires de « bonbon Palace »

 

Le logement du « grand père » Hadj (p141)

 Ce grand père qui est aussi gérant du « Bonbon Palace » devait surveiller  les enfants de  sa fille,  tandis que celle-ci travaillait et que  son mari cherchait du travail

Pour occuper ces enfants dont le plus âgé avait 7 ans ,il racontait des histoires ,en particulier les origines de l’empire ottoman  fondé par Osmam

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ou de Mehmed ,le conquérant de Byzance

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La maîtresse bleue :un peu folle  (p179)

Elle se trouvait à mi chemin et oscillait sans cesse entre deux états.  Mi épouse ,mi dépravée  ,a le fois bleue et maitresse

Pendant 2 ans , sans faute ,chaque semaine ,elle assista aux prêches de 3 ordres religieux différents 

Au fil du temps elle réalisa qu’elle ne s’intéressait pas au prêches  mais aux chants ;Elle se laissait  emporter non par le sens des mots mais par des mélodies et le rythme des persécutions (181)

Pour elle ,la foi ne consistait pas à vivre selon les préceptes infrangible d’un Dieu qui ordonne,mais plutôt dans un lumineux souvenir d’enfance. Et puisque ces souvenirs étaient les plus beaux moments  de sa vie, elle demeura toujours ,avec une constance impertubable , une fervente croyante (P182)

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La secrétaire du professeur

Elle s’appelait Nadya  et avait été pendant  9 ans la secrétaire  du professeur  Kandinky qui étudiait les comportements des insectes

Les insectes disposaient d’une aptitude étonnante à développer  leur système immunitaire  pour faire face aux  dangers

En 1946 ils n’étaient capables de résister qu’ à 2 types d’insecticides ;A la fin du siècle, ils avaient la capacité de résister à plus d’une centaine de ces produits  (p211)

Ainsi Nadya, après la mort des son professeur,  se marie avec un demeuré

mais comme  beaucoup de femmes en foyer ,elle  sut faire face à cette misère, à la manière des insectes  

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Meryem, la superstitieuse

Le mari de Meryem  était Mussa et son fils se nommait  Muhammed  

Elle était très pieuse  

Si par accident elle faisait tomber  un miroir ,elle courait en acheter un neuf et le brisait aussitôt ,histoire de soigner le mal par le mal.   Lorsque elle coupait le pain ,elle le posait à sa droite…A son réveil elle posait d’abord le pied droit …  

Toute la journée  ,elle était à  l’affût des signes et déchiffrait  les signes .Quand son oreille droite sifflait c’était un bonne nouvelle ;Si c’était l’oreille gauche  c’était mauvais…. (p226)

Sur les murs, elle avait affiché des prières de protection… suspendus  des fers à cheval ,.et .elle  avait aspergé de l’eau sacrée de lA Mecque ..(p 228)

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Siar ,l’étudiant fauché

Sidar vivait  au sous  sol du « Bonbon palace » , avec son chien  

La simplicité qui régnait dans cet appartement humide s’achevait brutalement au plafond …La Haut,il avait collé ou épinglé des affiches, des photes , des slogans… (p235 )

Une  gravure de Goya , « Gare au croque-mitaine »  

Des citations de Cioran sur maitre Eckhart …

Une photo de Wittgenstein

Une affiche de Spiderman ,accroupi sur une des tours de World trade center

Un portrait du poète Neyzen Tevfik

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Des gravures de Willian Blake  …….(p236)

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Siar  pensait souvent à la mort…

pour lui la mort n’était pas affligeante au point de s’en effrayer, ni effrayante au point de s’en affliger .Il essayait de comprendre (238)

De même qu’il pouvait avoir de la considération pour quelqu’un  de moralement condamnable parce qu’il était mort d’une façon remarquable pour la simple raison qu’il trouvait sa mort banale … Alexandre le grand ? Il a fini d’une manière minable .Il est mort d’indigestion et de diarrhées ( p239)

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Hygiéne Tijen  

Il ya plusieurs   façon de faire le ménage et de mettre de l’ordre dans on appartement

Tijen était une radicale 

elle jetait tout par la fenêtre

elle envoyait valser le nid des microbes hors de chez elle  249

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MadameTeyze

 une vieille dame …très vieille

elle ne voulait rien jeter

« L’enfant s’approcha à pas feutrés ,ouvrit tout grand la porte et resta interdite…que des  vieux linges et  des objets usagés …en tas  (p384)

Finalement toute la puanteur de l’immeuble  venait de chez elle 

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