Nedim Gursel : « Le fils du capitaine » et la politique en Turquie

Nedim Gursel  dans son roman «  le fils du capitaine ne craint pas la censure ou… le pire ; il dit ce qu’il pense sur le chef , tant pis pour lui

Le chef  s’affiche à la télé à longueur de journée  Pour montrer sa force ,Il est toujours prêt  interdire quelque chose  A ce train là il va finr par nous interdire d’aller aux chiottes (p100)

 Il n’aime pas être critiqué  ni les mises en garde  Il est comme Allah omniprésent et omniscient (p110)

Tout m’énerve  en lui à commencer par ses manières , « son langage corporel » avec ses airs de tout savoir  sa morgue sa confiance mal placée(p111)

 

Cet homme sait tout ;Il décide par exemple qu’une  statue n’est pas belle  et la fait détruire

tel le monument de l’humanité à à Kars (p112)

Cliquez ICI 

 ou la statue d’Atatürk

Cliquez  ICI 

La tour de Galata  qu’on avait pas encore coiffée de son bonnet de plomb  se dressait au coeur de la ville  sans ressembler comme aujourd’hui  à un phallus circoncis  (105) 

 On tient le conservatisme comme une vertu  tandis que la pensée critique est méprisée  quand elle n’est pas interdite  (p113)

 Nous avons adopté la culture occidentale ,mais nos relations avec le France ne sont plus ce qu’elles étaient

Non content de faire psalmodier en arabe l’appel à la prière ,il a a multiplié dans le pays les séminaires de formation d’iman  (p179)

 

Laisser un commentaire