Khaled Hosseini : Ainsi résonne l’écho infini des montagnes ( 1)

Abdullah s’occupe avec beaucoup d’amour de sa petite soeur Pari, car leur mère est décédée   

je connais une petite fée

que le vent un soir  à soufflé (p48)

 

mais son oncle Nabi  confie la gamine

à une riche propriétaire Nila ,

elle même la fille d’une française mariée à un pakistanais

 

Nila est  stérile

Elle adopte Pari  la petite fille  de 3 ans qui  devenue plus  agée

oublie  jusqu’à l’existence de son frère qui l’ avait tant  protégée 

 

Kaboul

Nabi le  chauffeur de Nila  avait sillonné  en voiture les rues de la ville  en passant devant toutes les mosquées,  tous les quartiers commerçants

 Il montre le palais  de Bagh  e Babur ( p81)

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ils ont prié à la mosquée Shah Jahan

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puis le palais  Darulaman (p 85)

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Vous connaissez bien l’histoire  de ce pays assiégé (p151)

 La guerre civile au sein même de la ville ,

 entre les forces de Massoud et de Hekmatyar ( P154)

Puis la venue des talibans  

ces jeunes en hommes barbus et armés de fouet,  aux traits durs et aux yeux cernés de khols   (p156)

 

puis arrivent les humanitaires

dont le docteur Markos  

qui occupent la maison  où habitait  Nila  et son  chauffeur Nabi ( p157)

 En même temps ,arrivent  les « seigneurs de la guerre » dont l’un s’installe sur les terres d Abdallah qui a fui depuis longtemps en Amérique , tandis que son frère Iqbal se trouve dans un camp de réfugié à Jalozai  au Pakistan   

 

Nila et sa fille adoptive sont partis à Paris…   Les années ont passées  …Nila  meurt

 

La jeune fille Pari qui ne savait toujours pas qu’elle avait un frère et que Nila n’était pas sa mère  se marie

reçoit un coup de téléphone provenant de kaboul

Elle apprend qu’elle a un frére Abdullah  et le retrouve en Amérique 

mais  devenu vieux il a perdu la mémoire et ne reconnait pas sa soeur 

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