5é Mercredi ordinaire : Il n’est pas bon que l’homme soit seul (Gen 2, 18-25)

Le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Je vais lui faire une aide qui lui correspondra. » Avec de la terre, le Seigneur Dieu modela toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les amena vers l’homme pour voir quels noms il leur donnerait. C’étaient des êtres vivants, et l’homme donna un nom à chacun. L’homme donna donc leurs noms à tous les animaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes des champs. Mais il ne trouva aucune aide qui lui corresponde. Alors le Seigneur Dieu fit tomber sur lui un sommeil mystérieux, et l’homme s’endormit. Le Seigneur Dieu prit une de ses côtes, puis il referma la chair à sa place. Avec la côte qu’il avait prise à l’homme, il façonna une femme et il l’amena vers l’homme. L’homme dit alors : « Cette fois-ci, voilà l’os de mes os et la chair de ma chair ! On l’appellera femme – Ishsha –, elle qui fut tirée de l’homme – Ish. » À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. 

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La femme

« Cette fois-ci, voilà l’os de mes os et la chair de ma chair !

Cette femme c’est d’abord Marie 

que l’on salue chaque matin

comme l’ange Gabriel

Réjouis toi pleine de grâce

Tu es bénie  entre toutes les femmes

l’immaculée

la Vierge de Lourdes !

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L’Eglise

 

5é-Mercredi-ordinaire

 

Il n’est pas bon que l’homme soit seul…., l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. 

cette femme c’est  l’église

couronnée de 12 étoiles

 

Il es impossible à l’homme de vivre seul

On a tous besoin les uns des autres

surtout en ce temps du covid

il faut vivre ensemble

enfants du même père

ensemble…liguons nous contre le mal

La femme a besoin de l’homme .L’homme a besoin de la femme 

complémentaire  ..

quelle joie !

Réjouis toi !

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 Evangile :la femme, Syro Phenicienne (Marc 7, 24-30)

En ce temps-là, Jésus partit et se rendit dans le territoire de Tyr. Il était entré dans une maison, et il ne voulait pas qu’on le sache, mais il ne put rester inaperçu : une femme entendit aussitôt parler de lui ; elle avait une petite fille possédée par un esprit impur ; elle vint se jeter à ses pieds. Cette femme était païenne, syro-phénicienne de naissance, et elle lui demandait d’expulser le démon hors de sa fille. Il lui disait : « Laisse d’abord les enfants se rassasier, car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. » Mais elle lui répliqua : « Seigneur, les petits chiens, sous la table, mangent bien les miettes des petits enfants ! » Alors il lui dit : « À cause de cette parole, va : le démon est sorti de ta fille. » Elle rentra à la maison, et elle trouva l’enfant étendue sur le lit : le démon était sorti d’elle.

 

Quelle femme ?

une mère pleine de tendrese

attentive aux besoins de des « petits »

Seigneur, les petits chiens, sous la table, mangent bien les miettes des petits enfants !

 

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