4ème Dimanche de Pâques (A) :je suis la porte
En ce temps-là, Jésus déclra : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. » Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ;
Je suis la porte
la porte qui s’est manifesté le jour de la création
« Au commencement était le verbe »
le Verbe qui se manifeste parmi nous
Le Verbe qui s’est fait chair
qui nous ouvre les portes du ciel
qui relie le ciel et la terre
Une porte toujours ouverte
car le Verbe est toujours là
Il ne cesse pas de se manifester
avec la parole des prophètes
Le courage des martyrs
la charité des saints
L’humilité et la confiance des humbles qui spontanément viennent se recueuillir dans les églises
les malades qui supportent leur souffrance grâce à leur foi
les manifestations mariales à Lourdes ou les apparitions du Sacré-coeur à Paray le monial lae
je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Au nom de la raison on referme cette porte
maiq avec nsotre espeit amerationnel nous reston aveuele
t alpaorte restfermer
Première lecture : les portes de la pentecôte (Ac 2, 14a.36-41)
Le jour de la Pentecôte, Pierre, debout avec les onze autres Apôtres, éleva la voix et fit cette déclaration : « Que toute la maison d’Israël le sache donc avec certitude : Dieu l’a fait Seigneur et Christ, ce Jésus que vous aviez crucifié. » Les auditeurs furent touchés au cœur ; ils dirent à Pierre et aux autres Apôtres : « Frères, que devons-nous faire ? » Pierre leur répondit : « Convertissez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ pour le pardon de ses péchés ; vous recevrez alors le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont loin, aussi nombreux que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Par bien d’autres paroles encore, Pierre les adjurait et les exhortait en disant : « Détournez-vous de cette génération tortueuse, et vous serez sauvés. » Alors, ceux qui avaient accueilli la parole de Pierre furent baptisés. Ce jour-là, environ trois mille personnes se joignirent à eux.
Le jour de la Pentecôte la porte s’est ouverte
Ce fut comme un grand vent
un fraicheur bienveillante qui a envahi le monde
le souffle de l’Esprit
le souffle de l’espérance
enfin on respire
On vit !
Convertissez-vous,…vous recevrez alors le don du Saint-Esprit.
Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom. ..Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours. Psaume (Ps 22 )
Deuxième lecture: Ouvrons nos portes (1 P 2, 20-25)
Bien-aimés, si vous supportez la souffrance pour avoir fait le bien, c’est une grâce aux yeux de Dieu. C’est bien à cela que vous avez été appelés, car c’est pour vous que le Christ, lui aussi, a souffert ; il vous a laissé un modèle afin que vous suiviez ses traces. Lui n’a pas commis de péché ; dans sa bouche, on n’a pas trouvé de mensonge. Insulté, il ne rendait pas l’insulte, dans la souffrance, il ne menaçait pas, mais il s’abandonnait à Celui qui juge avec justice. Lui-même a porté nos péchés, dans son corps, sur le bois, afin que, morts à nos péchés, nous vivions pour la justice. Par ses blessures, nous sommes guéris. Car vous étiez errants comme des brebis ; mais à présent vous êtes retournés vers votre berger, le gardien de vos âmes.
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C’est bien à cela que vous avez été appelés, car c’est pour vous que le Christ, lui aussi, a souffert ; il vous a laissé un modèle afin que vous suiviez ses traces.
Comme le Christ nous les bras
ouvrons nos coeurs
Acceuillons tous nos frères
Avec le Chrsit nous ressusciterons
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