32è samedi Ordinaire : Prier sans se décourager (Lc 18, 1-8)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes. Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : “Rends-moi justice contre mon adversaire.” Longtemps il refusa ; puis il se dit : “Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne, comme cette veuve commence à m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse m’assommer.” » Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice ! Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ? Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Il faut prier sans se décourager
mais avons nous encore la foi ?
la foi à déplacer les montagne
- la foi du centurion qui prie pour son serviteur
« Vraiment , je n’ai jamais vu un telle foi en Israël »
- la foi de la petite veuve qui donne le peu qu’elle avait dans le tronc du temple
- la foi du centurion qui s’écrie en voyant jésus mourir sur la croix
« cet homme est vraiment le fils de Dieu
mais le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Lecture : Tu les avais délivrés (Sg 18, 14-16 ; 19, 6-9)
Un silence paisible enveloppait toute chose, et la nuit de la Pâque était au milieu de son cours rapide ; alors, du haut du ciel, venant de ton trône royal, Seigneur, ta Parole toute-puissante fondit en plein milieu de ce pays de détresse, comme un guerrier impitoyable, portant l’épée tranchante de ton décret inflexible. Elle s’arrêta, et sema partout la mort ; elle touchait au ciel et marchait aussi sur la terre. La création entière, dans sa propre nature, était remodelée au service de tes décrets, pour que tes enfants soient gardés sains et saufs. On vit la nuée recouvrir le camp de son ombre, on vit la terre sèche émerger là où il n’y avait eu que de l’eau ; de la mer Rouge surgit un chemin sans obstacles et, des flots impétueux, une plaine verdoyante. C’est là que le peuple entier, protégé par ta main, traversa en contemplant des prodiges merveilleux. Ils étaient comme des chevaux dans un pré, ils bondissaient comme des agneaux et chantaient ta louange, Seigneur : tu les avais délivrés. –
Ayons la foi en la sagesse de Dieu
Elle est l’ami des hommes ,la respiration de Dieu ,le rayonnement de la lumière éternelle
l’image de la bonté: c’est la conclusion du livre de la sagesse que nous avons lu au cours de cette semaine
c’est aussi une prophétie sur la venue du sauveur
en nous parlant de la sortie d’Egypte
le jour de la Pâque
le jour du passage de la mort à la vie
de la mer Rouge surgit un chemin sans obstacles
ce chemin c’est Jésus
« je suis le chemin ,la vérité, la vie «
et des flots impétueux, surgit une plaine verdoyante.
Non plus la guerre ,mais la paix
« Je vous laisse la paix je vous donne la paix »
le peuple entier, protégé par ta main,contemplera des prodiges merveilleux.
Le sacrifice de Jésus sur la croix
l’ agneau de dieu qui enlève les péchés du monde et la résurrection
ils bondissaient comme des agneaux et chantaient ta louange, Seigneur :
tu les avais délivrés
le salut !
Rendons grâce à Dieu
Chantez et jouez pour lui, redites sans fin ses merveilles ; glorifiez-vous de son nom très saint : joie pour les cœurs qui cherchent Dieu ! .. il fait sortir les siens chargés d’argent et d’or ; pas un n’a flanché dans leurs tribus ! Il s’est ainsi souvenu de la parole sacrée et d’Abraham, son serviteur ; il a fait sortir en grande fête son peuple, ses élus, avec des cris de joie ! (ps 104)
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