17ème Mercredi ordinaire : Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché (Mt 13, 44-46)

En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. Ou encore : Le royaume des Cieux est comparable à un négociant qui recherche des perles fines. Ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète la perle. » – Acclamons la Parole de Dieu.

 2024--Matthieu-17é-mercredi

En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ;

Le royaume de Dieu..c’est le royaume du père miséricordieux

qui nous créé avec tant d’amour

« Il vit que cela était très bon »

Le royaume du fils qui meurt pour nous rendre la vie

Le royaume du Saint Esprit qui nous illumine et nous fortifie

 

C’est bien mieux que tous les trésors cachés dans les champs

ou que la plus belle des perles

Un royaume de paix et d’amour …Le vrai bonheur

 

Lecture :Quand je rencontrais tes paroles, je les dévorais ; (Jr 15, 10–21)

C’est pour mon malheur, ô ma mère, que tu m’as enfanté, homme de querelle et de dispute pour tout le pays. Je ne suis le créancier ni le débiteur de personne, et pourtant tout le monde me maudit ! Seigneur, quand je rencontrais tes paroles, je les dévorais ; elles faisaient ma joie, les délices de mon cœur, parce que ton nom était invoqué sur moi, Seigneur, Dieu de l’univers. Jamais je ne me suis assis dans le cercle des moqueurs pour m’y divertir ; sous le poids de ta main, je me suis assis à l’écart, parce que tu m’as rempli d’indignation. Pourquoi ma souffrance est-elle sans fin, ma blessure, incurable, refusant la guérison ? Serais-tu pour moi un mirage, comme une eau incertaine ? Voilà pourquoi, ainsi parle le Seigneur : « Si tu reviens, si je te fais revenir, tu reprendras ton service devant moi. Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est méprisable, tu seras comme ma propre bouche. C’est eux qui reviendront vers toi, et non pas toi qui reviendras vers eux. Je fais de toi pour ce peuple un rempart de bronze infranchissable ; ils te combattront, mais ils ne pourront rien contre toi, car je suis avec toi pour te sauver et te délivrer – oracle du Seigneur. Je te délivrerai de la main des méchants, je t’affranchirai de la poigne des puissants. »

 

La première fois que nous avons entendu les paroles du Verbe

par la bouche des prophètes

et les paroles du Verbe fait chair envoyé par le père et venu habité parmi nous

nous étions dans la joie

Seigneur, quand je rencontrais tes paroles, je les dévorais ; elles faisaient ma joie, les délices de mon cœur,

 

Mais Maintenant

dans notre monde si perturbé

on se moque des croyants

on se moque des évangiles

on oublie Dieu…notre père

Pourquoi donc de telles moqueries ?

Jamais je ne me suis assis dans le cercle des moqueurs pour m’y divertir ;

 

Tous ,nous désirons plus de justice d’amour et de paix

Pourquoi donc rejeter la parole de Dieu ?

‘je suis le chemin ,la vérité ,la vie »

 

je me suis assis à l’écart, parce que tu m’as rempli d’indignation.

Le christ sur la croix a le coeur transpercé

Marie au pied de la croix est bouleversée

«  quant à toi, Marie, la douleur te transpercera l’âme comme une épée. » (Luc2,35)

 Pourquoi ma souffrance est-elle sans fin, ma blessure, incurable, refusant la guérison ?

 

Pourquoi le Seigneur semble t-il nous abandonner ?

Serais-tu pour moi un mirage, comme une eau incertaine ?

 

Allons debout !..Lève toi et marche

Ayons la foi ! Dieu est amour

Il ne nous abandonne jamais

Je te délivrerai de la main des méchants, je t’affranchirai de la poigne des puissants. »

 

Courage !

Si tu reviens ,tu seras comme ma propre bouche…Je fais de toi pour ce peuple un rempart de bronze infranchissable…je suis avec toi

 

Délivre-moi de mes ennemis, mon Dieu ; de mes agresseurs, protège-moi. Délivre-moi des hommes criminels ; des meurtriers, sauve-moi. Voici qu’on me prépare une embuscade : des puissants se jettent sur moi. Je n’ai commis ni faute, ni péché, ni le mal, Seigneur, pourtant ils accourent et s’installent. Auprès de toi, ma forteresse, je veille ; oui, mon rempart, c’est Dieu ! Le Dieu de mon amour vient à moi : avec lui je défie mes adversaires. Et moi, je chanterai ta force, au matin j’acclamerai ton amour. Tu as été pour moi un rempart, un refuge au temps de ma détresse. Je te fêterai, toi, ma forteresse : oui, mon rempart, c’est Dieu, le Dieu de mon amour. (ps 58)

 

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