23é mercredi Ordinaire : Heureux les pauvres (Lc 6, 20-26)
En ce temps-là, Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara : « Heureux, vous les pauvres, car le royaume de Dieu est à vous. Heureux, vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés. Heureux, vous qui pleurez maintenant, car vous rirez. Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous excluent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l’homme. Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie, car alors votre récompense est grande dans le ciel ; c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes. Mais quel malheur pour vous, les riches, car vous avez votre consolation ! Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant, car vous aurez faim ! Quel malheur pour vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et vous pleurerez ! Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. »
Heureux les pauvres..
ceux qui reconnaissent qu’ils ont tout reçu de Dieu :l’être ,la vie , les talents ,les grâces
….Ils sont heureux en rendant grâce
Sans Dieu nous sommes que du néant..Sans Dieu nous ne pouvons rien
mais Je peux tout avec celui qui me fortifie
Heureux ceux qui ont faim
« J’ai soif de Dieu vivant …Quand le verrais je face à face ? »(ps)
Heureux ceux qui pleurent
en regrettant d’avoir fait du tort aux prochains
d’avoir manquer de charité… d’avoir porter des jugements injustes
Heureux les miséricordieux..les pacifiques
ceux qui ouvrent leur coeur et apportent la paix
Quel bonheur ! Quelle paix si nous écoutons le Seigneur
C’est le plus beau des sermons selon Gandhi qui pourtant n’était pas Chrétien
Pourquoi ne pas l’écouter ?
Lecture : Il passe, ce monde tel que nous le voyons. (1 Co 7, 25-31)
Frères, au sujet du célibat, je n’ai pas un ordre du Seigneur, mais je donne mon avis, moi qui suis devenu digne de confiance grâce à la miséricorde du Seigneur. Je pense que le célibat est une chose bonne, étant données les nécessités présentes ; oui, c’est une chose bonne de vivre ainsi. Tu es marié ? ne cherche pas à te séparer de ta femme. Tu n’as pas de femme ? ne cherche pas à te marier. Si cependant tu te maries, ce n’est pas un péché ; et si une jeune fille se marie, ce n’est pas un péché. Mais ceux qui font ce choix y trouveront les épreuves correspondantes, et c’est cela que moi, je voudrais vous éviter. Frères, je dois vous le dire : le temps est limité. Dès lors, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas, ceux qui font des achats, comme s’ils ne possédaient rien, ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment. Car il passe, ce monde tel que nous le voyons.
Dépêchons nous de suivre les conseils du Christ .
Car : le temps est limité….
70 ans… 80 en fait le compte
il passe, ce monde tel que nous le voyons.
Dés lors
Que ceux qui pleurent, soient comme s’ils ne pleuraient pas,
On pleure ,car on a péché ,mais courage !
Allons de l’avant , à la suite de Jésus Christ et au service de nos frères
Que ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas
car nous connaîtrons la vraie joie que dans l’au-delà , quand nous verrons enfin « notre père qui est aux cieux » Jésus ,Marie et tous les saints et quea nous chanterons avec eux
« j’étais dans la joie quand je suis parti vers la maison du Seigneur »(ps)
ceux qui font des achats, comme s’ils ne possédaient rien,
« Vanité des vanités ..tout n’est que vanités (Ben Sira)
ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment.
Car notre vrai bonheur ne peut se trouver qu’en Dieu seul
« Mon coeur n’est pas satisfait tant qu’il n’ pas trouvé Dieu (St Augustin )
Ecoute, ma fille, regarde et tends l’oreille : le roi sera séduit par ta beauté. Il est ton Seigneur : prosterne-toi devant lui. Fille de roi, elle est là, dans sa gloire, vêtue d’étoffes d’or ; on la conduit, toute parée, vers le roi. Des jeunes filles, ses compagnes, lui font cortège ; on les conduit parmi les chants de fête : elles entrent au palais du roi. À la place de tes pères se lèveront tes fils ; Je ferai vivre ton nom pour les âges des âges : que les peuples te rendent grâce, toujours, à jamais ! (ps44)
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