26è Vendredi Ordinaire : As-tu réfléchi au chemin qui mène à la lumière? (Jb 38, 1)
Le Seigneur s’adressa à Job du milieu de la tempête et dit : « As-tu, une seule fois dans ta vie, donné des ordres au matin, assigné son poste à l’aurore, pour qu’elle saisisse la terre aux quatre coins et en secoue les méchants ? La terre alors prend forme comme argile sous le sceau et se déploie tel un vêtement ; aux méchants est enlevée la lumière, et le bras qui se levait est brisé. Es-tu parvenu jusqu’aux sources de la mer, as-tu circulé au fond de l’abîme ? Les portes de la mort se sont-elles montrées à toi, les as-tu vues, les portes de l’ombre de mort ? As-tu réfléchi à l’immensité de la terre ? Raconte, si tu sais tout cela ! Quel chemin mène à la demeure de la lumière, et l’obscurité, quel est son lieu, pour que tu conduises chacune à son domaine et discernes les sentiers de sa maison ? Si tu le sais, alors tu étais né, et le nombre de tes jours est bien grand ! » Job s’adressa au Seigneur et dit : « Moi qui suis si peu de chose, que pourrais-je te répliquer ? Je mets la main sur ma bouche. J’ai parlé une fois, je ne répondrai plus ; deux fois, je n’ajouterai plus rien
Qui sommes nous ? D’où venons nous ; Où allons nous ?
Que de mystères ?
D’où venons nous ?
quand la terre a pris forme comme l’ argile sous le sceau
Que savons nous du monde qui nous entoure ?
Sommes nous parvenu jusqu’aux sources de la mer, et circulé au fond de l’abîme ?
Où allons nous ?
as-tu vu, les portes de l’ombre de mort ?
Que de mystères !
Nous sommes vraiment petits
As-tu réfléchi à l’immensité de la terre ?
Évangile: Malheureuse es-tu, Bethsaïde (Lc 10, 13-16)
En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que leurs habitants auraient fait pénitence, avec le sac et la cendre. D’ailleurs, Tyr et Sidon seront mieux traitées que vous lors du Jugement. Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ? Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras ! Celui qui vous écoute m’écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé. »
Jésus seul peut répondre à nos questions
car lui seul a été envoyé par le père
« au commencement était le Verbe.. et le Verbe s’est fait chair
Jésus , le pain de vie ,la lumière du monde et venu parmi nous
à Corazine ,, Bethsaïde ! Capharnaüm,
Jésus est né à « Bethléem » qui veut dire « la maison du pain »puis il est passé à « Bethsaïde »qui veut dire la « ville des entrepôts »un marché international ,l’équivalent de notre MIN
Bethsaïde était la ville de Philippe et d’André
Or c’est à Philippe que Jésus avait demandé du pain lors de la multiplication des pains
Jesus dit à Philippe : « Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? »(Jn6,5)
C’est encore Philippe qui avait présenté à Jésus des Grecs à la recherche de la sagesse
Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »’jn12,21)
…Ces grecs philosophes étaient renommés..à la recherche de la vérité
Jésus a ensuite habité à Capharnaüm
Dans toutes ces villes Jésus a parlé
On a mangé de son pain …On l’a écouté…On n’y a pas cru
Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde !Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ?
Et nous ,maintenant
Croyons nous que nous avons un père qui nous a créé, …..un père qui nous aime
Croyons nous en la résurrection des morts ,en la vie éternelle
Allons nous enfin croire en Jésus et manger de son pain !
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais ! Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ; de très loin, tu pénètres mes pensées, Que je marche ou me repose, tu le vois, tous mes chemins te sont familiers. Où donc aller, loin de ton souffle ? où m’enfuir, loin de ta face ? Je gravis les cieux : tu es là ; je descends chez les morts : te voici. Je prends les ailes de l’aurore et me pose au-delà des mers : même là, ta main me conduit, ta main droite me saisit. C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je reconnais devant toi le prodige, l’être étonnant que je suis (Ps 138 (139),
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