Le Sacré-Cœur de Jésus :Le berger (Ez 34, 11-16)
23 juin, 2022Ainsi parle le Seigneur Dieu : Voici que moi-même, je m’occuperai de mes brebis, et je veillerai sur elles. Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau quand elles sont dispersées, ainsi je veillerai sur mes brebis, et j’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées un jour de nuages et de sombres nuées.
je m’occuperai de mes brebis,
et je veillerai sur elles.
j’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées un jour de nuages
Je les rassemblerai
Je les ferai paître dans un bon pâturage,
l’égarée, je la ramènerai.
Celle qui est blessée, je la panserai.
Celle qui est malade, je lui rendrai des forces.
Celle qui est grasse et vigoureuse, je la garderai,
. Qu’ajouter de Plus ?
Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours. (ps 22 )
Deuxième lecture : Des hommes de rien ! (Rm 5, 5b-11)
Frères, l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné. Alors que nous n’étions encore capables de rien, le Christ, au temps fixé par Dieu, est mort pour les impies que nous étions. Accepter de mourir pour un homme juste, c’est déjà difficile ; peut-être quelqu’un s’exposerait-il à mourir pour un homme de bien. Or, la preuve que Dieu nous aime, c’est que le Christ est mort pour nous, alors que nous étions encore pécheurs. À plus forte raison, maintenant que le sang du Christ nous a fait devenir des justes, serons-nous sauvés par lui de la colère de Dieu.
Nous étions capables de rien
mourir pour un homme juste c’est déjà difficile
mais mourir pour des hommes de rien …,
Cela prouve que nous ne sommes pas rien
nous comptons pour lui !
Il nous aime
Évangile : La brebis perdue (Lc 15, 3-7)
En ce temps-là, s’adressant aux pharisiens et aux scribes, Jésus disait cette parabole : « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire : ‘Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue !’ Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de conversion. » –
Nous ne sommes pas rien
Il ne cesse pas de nous chercher