Le message de sainte Madeleine à saint Maximin et à la sainte baume

Marie Madeleine à « la Sainte Baume »

C’est de la blague !

D’accord !

Ce n’est pas historique !

C’est un mythe !

D’accord !

Mais quelle leçon !

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La  Lettre tue,

L’esprit vivifie.» (2 Corinthiens 3:6).

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Ce qui compte

ce n’est pas la lettre ,la légende

mais c’est l’esprit qui s’en dégage

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Cela vaut pour la dévotion aux reliques

ou pour  certains pèlerinages contestés

ne serais que celui de saint Jacques de Compostelle 

« On juge l’arbre à ses fruits » 

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Le pèlerinage à la sainte Baume

nous rappelle que Dieu est miséricordieux 

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Madeleine est une faible

une pécheresse

comme nous tous

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Tous, nous voudrions aimer ,

mais on ne sait pas

On ne sait pas pardonner

On ne sait pas respecter les autres

On ne sait pas les écouter 

On ne sait pas surmonter nos antipathies

 

Marie Madeleine ,une pécheresse et non une sainte !

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Le message de la sainte Baume

Marie Madeleine est la seule à avoir vraiment annoncer le vrai évangile

Il faut aimer

« Il lui sera beaucoup pardonné car elle a beaucoup aimé »

L’évangile c’est cela !

Rien que cela !

Aimer

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Espérer

Madeleine est la première à annoncer la résurrection

Quelle annonce pleine d’espérance !

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Grâce à « la Sainte Baume » 

On se souvient de l’essentiel

aimer

croire en la vie

Quel message dans notre monde moderne !

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Le reliquaire de Madeleine  à Saint Maximin

Pas extra !

ce reliquaire avec un crâne noir

qui ressemble à une momie

est loin de rappeler le message central de Madeleine

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Le pape François

Le message de notre nouveau pape

ressemble étrangement à celui de Madeleine

il se reconnaît avant tout pécheur

et annonce la miséricorde de Dieu  

 Cliquez ICI 

 

 

Noyon :3 rois couronnés , 2 grands saints et un réformateur Jean Calvin

La ville

A Noyon

tout semble  disposé en rond

autour de l’édifice principal

la cathédrale

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Le premier cercle

La cathédrale est entourée par un premier cercle

qui délimite le domaine du clergé

c’est-à-dire

Les maisons des chanoines ,édifiées sur les anciennes murailles

le palais épiscopal dont une partie  date de la renaissance

la célèbre bibliothèque en pan de bois

Le 2é cercle

L’espace entre le premier cercle et le deuxième  est encore occupé

par les bâtiments qui ont une histoire religieuse

le cloitre de l’hôtel Dieu

le théâtre sur l’emplacement de l’abbaye fondée par sainte Godeberthe

la maison de Calvin

maison de Calvin

le 3é cercle

Au-delà de 2é siècle s’étend la ville du peuple

avec en prime l’hôtel de ville «  renaissance »

 hôtel de ville

 

La fierté de la ville

Noyon ce n’est pas bien grand

C’est une petite ville

mais elle a une grande histoire

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Face à l’hôtel de ville « renaissance »

se dresse une fontaine

ou il est gravé sur du marbre 

« En cette ville Chilperic, fut inhumé

Charlemagne ,fut sacré

Hugues Capet fut couronné »

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Chilperic un fils de Clovis

Charlemagne ,un empereur 

 Hugues Capet le premier des capétiens 

c’est pas n’importe qui !

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Les saints de la ville

Saint Médard

fut évêque de Noyon ,mais il fut enterré à Soissons

tant il était vénéré par le roi Clotaire

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Saint Eloi

 evêque de Noyon 

sous le roi Dagobert

Ses reliques sont toujours sous l’autel de la cathédrale

  image du reliquaire

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Sainte Godeberthe

abbesse du couvent des moniales de Noyon 

du temps de saint Eloi

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Jean Calvin

Rous  ces saints mérovingiens étaient morts depuis bien longtemps

alors vint  Calvin  

Soissons : La ville des abbayes en ruine

Soissons

allons bon !

est une ville qui fut plusieurs fois détruite

puis  maintes et maintes fois  reconstruite

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Les murs  sont criblés de balles

et des monuments prestigieux sont en ruine

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La cathédrale

étant en ruine    

l’evêque du lieu

n’a rien trouvé de mieux

que de prendre les pierres de l’abbaye saint Jean des vignes

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L’abbaye de saint Jean des vignes

C’est une ruine prestigieuse

une façade impressionnante

déchiquetée

ajourée,

clairsemée 

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Dans les hauteurs

un christ en croix

pleure sur la ville

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L’abbaye Notre Dame

Il ne reste qu’un pan de mur

cliquez  ICI

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Autant d’abbayes qui furent occupées par des militaires 

au temps des guerres

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L’abbaye de saint Médard 

De cette abbaye il ne reste qu’une crypte

en piteuse état

cliquez ICI

 

Pourtant dans cette crypte ont reposé

côte à côte

pendant des siécles

Clotaire

à la face patibulaire 

et saint Médard

non par hasard

parce que le roi le voulait

 la crypte

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L’abbaye de saint Léger

Il reste quand même une abbaye 

presque intacte

celle de saint Léger

 

Elle est devenue un musée

où des ruines ,…toujours des ruines

y  sont exposées

On y voit 

des animaux musiciens

sculptés dans la pierre 

et  un relief représentant « l’enfer »

qui proviennent, dit-on, de la collégiale de Braine  

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Pourquoi l’enfer ?

Est ce parce que là, à Braine, fut jugée et innocentée

lors d’un concile 

la terrible reine Frédégonde accusée d’adultère

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Une ville martyre

Décidemment

cette ville martyre

mérite bien

son reliquaire en or

exposé au musée Saint Leger  

 

Abbaye saint Médard de Soissons

Les frères Jacques qui n’étaient pas moines

ont longtemps chanté  

« A la saint Médard, mon Dieu qu’il a plu

dans le petit bar, on s’entendait plus »

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Les jardiniers  ,quant à eux ,aiment dire le dicton  

S’il pleut à la saint Médard ,il pleut  40 jours plus tard ,

Mais vient le bon saint Barnabé qui peut encore tout raccommoder

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Saint Médard fut l’évêque de Noyon

mais il fut inhumé à Soissons

dans une abbaye qui  fut fondée en 557 par  Clotaire

qui avait pour ce saint  une grande vénération

Allez savoir pourquoi !

l’un était saint

l’autre une fripouille !

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Renommée de l’abbaye

Cette abbaye s’étendit  très vite

En 615 elle comptait déjà 400 moines

et de nombreuses terres

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Elle acquit vite une grande réputation

pour son niveau intellectuel

C’est pourquoi  les plus grandes familles y envoyèrent leurs enfants

pour y recevoir une bonne éducation 

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Ce fut le cas de saint Ouen, le future évêque de Rouen 

dont les parents avaient une somptueuse villa à Braine

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Histoire de l’abbaye  

Depuis les merovingiens jusqu’au Capétiens

son histoire fut très riche 

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« Saint Médard » est fondée par un des premiers  mérovingiens ,le fils de Clovis

et le dernier roi  Mérovingien, Childeric III y fut « tondu »

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Hugues, le propre fils de Charlemagne ,y reçu son éducation

puis devient l’abbé

Il est inhumé dans l’abbaye en 818

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En 802 après le sacre de Charlemagne, le pape Léon III résida à l’abbaye

de même que beaucoup plus tard le pape Innocent II (en 1132)

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Sous Louis le pieux

au sein des fortifications qui entouraient l’abbaye

s’élevaient 7 églises, une grande école,, des ateliers ,des jardins, des vignes

et évidemment un palais abbatial

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Louis fit de nombreux dons à l’abbaye

dont le magnifique « évangéliaire de Saint Médard »

qui appartenait à Charlemagne

http://www.qantara-med.org/qantara4/public/show_document.php?do_id=1448

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En 826 les moines font venir de Rome des reliques de saint Sébastien

Faut  ce qu’il faut !

Chaque abbaye se doit, d’avoir des reliques fameuses 

cliquez ICI

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Or Sébastien était un des saints les plus vénérés  par les carolingiens

le patron de Rome, avec Pierre et Paul

C’est l’illustre saint

transpercé de flèches

et souvent représenté par les peintres

au cours des siécles

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La plupart des conciles tenus à Soissons sous les carolingiens eurent lieu à saint Médard

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en 833 Louis le pieux

le roi si bon pour les moines ,

fut comme David trahi par son fils  Clotaire

tondu et enfermé dans l’abbaye

chargé de chaînes…

Mais il s’en sortira !

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Puis ce fut le temps des normands

le temps de nouveaux carnages

l’abbaye fut détruite 

Au 11é siécle, elle se releva

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En 1121

le fameux Abélard ,l’ami d’Héloïse

fut condamné lors d’un concile à Soissons

et fut enfermé, un certain temps, à saint Médard

il en profita pour y donner son enseignement

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Vers 1214

Gauthier de Coincy

un poète

un mystique

 rédigea à « saint Médard »

un superbe manuscrit

qui se trouve à la Bibliothèque national

sur « les miracles de la sainte Vierge »

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Mais tout a une fin !

L’abbaye fut détruite en 1567 au début des guerres de religion

se releva vers  1630

avant d’être rasée définitivement en 1793

il en reste la crypte en ruine    

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N.B Tous ces renseignements furent pris dans le livre

de l’abbé Jules Saincir sur le « diocèse de Soissons » ,publié en 1935

 

Abbaye Notre Dame de Soissons

 A Soissons

il y a l’abbaye de « Saint Médard »

ou du moins il y a eu

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Il ya eu aussi

l’abbaye « Notre Dame »

tout aussi célèbre  

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Ce fut le premier  monastère de femmes

établis dans le diocèse de Soissons

et une des plus illustres  abbayes bénédictines

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Ebroïn ,maître de palais   

L’abbaye  fut fondée en 666

par saint Drausin évêque de Soissons  

et richement dotée par le maire du palais Ebroïn  

celui là même qui fera mourir saint Léger , évêque d’Autun

dans des atroces souffrances en lui arrachant les yeux

cliquez ICI

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Plus tard

sans doute pour réparer cette ignominie 

sera fondée à Soissons l’abbaye de saint Léger

étonnamment  intacte

et devenu un musée

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Ebroïn non seulement creva les yeux du saint

mais encore il enferma la  mère de Léger 

à « Notre Dame de Soissons »

et sa propre  femme qui  y termina sa vie dans la pénitence 

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Les carolingiens  

A « saint Médard » les abbés furent souvent des hommes de la famille royale

dont Hugues le propre fils de Charlemagne

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De même pendant prés d’un siècle

 les abbesses furent des princesses carolingiennes

en 757  Giséle, la sœur ainée de Charlemagne fut abbesse ,à la fois à Soissons et à Chesles ;

Elle fut enterrée dans l’abbaye de Soissons

et  sa cousine germaine lui succéda

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Des sœurs de Louis le pieux furent aussi religieuses à « Notre Dame »  

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Avec de telles abbesses, l’abbaye recevait beaucoup de dons

et avait des propriétés dans le Maine ,l’Orléanais ,l’Aquitaine et même en Allemagne

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Le soulier de la Vierge

A « saint Médard » il y avait la relique de saint Sébastien

Cliquez ICI

A « Notre Dame » ce fut beaucoup mieux

ce fut  carrément le soulier de la Vierge

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C’était  le pied !

pour tout

et pour tous  

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Entre  1127 et 1128

un épidémie « le mal ardent »

dissémina la ville de Soissons  

Il y eut 300 morts  sur quelques milliers d’habitants  

La foule accourra alors supplier notre Dame de Soissons

et se recueillir auprès du soulier  

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En 1143 l’église saint Pierre,  presque  attenante  à « Notre Dame »

 dont elle n’était séparée que par un étroit couloir

fut rebâtie dans la style roman

On peut encore voir sa façade

à coté des ruines de l’abbaye   

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La décadence

La  décadence commença surtout avec  l’arrivée des normands

au 17è siécle, il y avait encore 50 religieuses

 sous la direction de Mme de La Rochefoucault

 Elles furent chassées en 1792

et l’abbaye fut démolie.

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Il en reste une belle ruine

http://soissons.envole.net/soissons_abbaye_notre_dame/

 

N.B :Tous ces renseignements furent pris dans le livre

de l’abbé Jules Saincir sur le « diocèse de Soissons » ,publié en 1935

 

 

Reims autrement : Art nouveau et Foujita

Reims c’est la cathédrale ;

D’accord !

C’est la basilique de st Rémi

D’accord !

C’est Clovis et saint Rémi

OK !

mais il n’y a pas que cela !

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Reims ce n’est pas seulement le champagne et « la villa demoiselle »

Reims est une ville vivante animée

avec son nouveau tramway ,ses rues piétonnes

avec ses larges avenues

la place d’Erlon ,le palais de justice

et les édifices du passé

malgré les guerres successives

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Le crypto portique romain

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Des maisons à colombages

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Des maisons de la renaissance

celle ou est né Jean Baptiste de la Salle

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La maison Levergeur

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Des maisons « art nouveau » et « art deco » 

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Son “cinema opera” aussi deco

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Les fresques de l’hôtel de ville

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ah Oui ! Il y a aussi les nouvelles Halles …pas extra

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Reims ce n’est pas seulement le sourire de l’ange

mais aussi  les sourires des femmes peintes par Foujita dans sa chapelle 

 http://www.maisons-champagne.com/Patrimoine_champagne/mecenat_foujita.htm

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Reims c’est aussi 

Adam et Eve

qui nous sourient 

près de leur arbre au palais de Tau

IIs se moquent de nous

Ils nous ont bien eu

 

Les églises de Troyes

Troyes

la ville de Saint loup

la ville en forme de bouchon de champagne 

la ville des maisons à colombage

la cité du vitrail

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La ville présentée

si richement

et si intelligemment

sur le site

http://vieuxtroyes.free.fr/t/indbal.htm

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La cité des 10 églises

la ville qui sonne

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Sans parler des vitraux qui sont partout remarquables

cliquez ICI

Chaque église 

a son caractère propre

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Dans l’église  sainte Madeleine c’est le jubé

qui fut  sculpté par le troyen Jean Gaylde entre 1508 à 1517

http://troyes-champagnemeridionale.blogspot.fr/2010/06/le-jube-de-sainte-madeleine-de-troyes_12.html

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A Saint   Urbain ce sont les gargouilles qui nous étonnent par leur variété 

http://raymond.elphege.pagesperso-orange.fr/gargouilles/troyes%20st%20urbain/troyes_st_urbain.htm

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L’église st Jean au marché

a une riche histoire

En 878 Louis 2 dit « le Bègue » y fut couronné

En 1420  le roi d’angleterre Henri V se marie avec Catherine de France fille de Charles VI

http://vieuxtroyes.free.fr/t/stjean.htm 

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L’église saint Pantaléon

est un  musée de sculpture

http://vieuxtroyes.free.fr/t/stpan1.htm

 

Les vitraux de Troyes :Un fabuleux patrimoine

Faire un petit tour

pour visiter la ville de Troyes

c’est un régal !

c’est génial !

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Souvent le mot « vitrail »

rime avec la ville de « Chartres »

mais « la cité du vitrail »

ne serait elle pas plutôt Troyes ?

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Une exposition présentée

en ce moment dans l’Hôtel Dieu-le-Comte

sur les quais de Seine

 

à Troyes

nous le  rappelle

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« Le département de l’Aube recèle le plus important patrimoine de verrières classées avec près de 9.000 m2 de baies réparties dans près de 200 églises et monuments qui offrent un panorama complet de l’art du vitrail du Moyen-Age à l’époque contemporaine. »

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« Pour le seul XVIe siècle, 1.042 vitraux de l’Aube sont classés au titre des monuments historiques.

Il suffit pour s’en convaincre

d’aller voir les sites suivants

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http://vieuxtroyes.free.fr/t/indvitr.htm

vitraux de sainte Madeleine

http://vieuxtroyes.free.fr/t/stmad1.htm

Vitraux de la cathédrale 

http://vieuxtroyes.free.fr/t/cath2.htm

http://www.cndp.fr/crdp-reims/cddp10/ressources/mediatheque/dossiers/vitrail/

http://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Troyes/Troyes-Saint-Pierre-et-Saint-Paul.htm

l’église de st Pantaléon

http://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Troyes/Troyes-Saint-Pantaleon.htm

 

Le vitrail alchimique de Troyes : Eglise saint Jean

Ce vitrail qui se trouve dans l’église « Saint Jean au marché » à Troyes

peut nous laisser perplexe et songeur

Apparemment il s’agit d’une femme qui récite les litanies de la vierge

Les litanies

Les titres donnés à Marie

sont représentés par des petits dessins

et les phylactères ne sont pas toujours lisibles car ils sont  écrits en « gothique » 

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Les titres donnés à Marie sont

 côté droit de haut en bas

vierge toute belle

tour d’ivoire

rose mystique

source de vie

cité de Dieu  

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coté gauche

porte de du ciel

miroir de justice   

puits de sagesse 

jardin  délicieux

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Dessins alchimiques

En y regardant de plus près

on se pose des questions

Il y  aurait dans ce vitrail

comme une odeur d’alchimie

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La lune est celle des alchimistes

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 la tour d’ivoire ressemble à l’athanor  

 

  

la fontaine de vie fait penser à celle du jardin des délices de Bosch

et à celle de l’alchimiste Mylius

 

le puits est typique

cliquez ICI

 

 

 

le jardin aussi

 

 Les alchimistes aiment  les roses mystiques ,les miroirs de justice ,les murailles des villes 

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On sait que la « grande œuvre » de l’alchimiste consiste à

éliminer la « negrido » du péché

la noirceur (bleu) du corbeau 

pour retrouver  la blancheur de la colombe

et le rouge de la gloire divine

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On retrouve dans ce vitrail les 3 couleurs 

 

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 La femme qui prie, serait dans ce cas

une alchimiste  à la recherche de la pierre philosophale 

c’est à dire  la sagesse

Les vieilles Pierres dans le limousin au Nord de Limoges

Que de vieilles pierres dans le limousin

au nord de Limoges

autour de Bellac

 ou dans les monts d’Ambazac

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Pierres vénérables

au milieu des torrents

caressées par l’eau

travaillées par l’érosion

depuis des millions d’années 

comme le  roc d’enfer

sur la Gartempe

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Des pierres branlantes

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ou la roche aux fées dans les monts de Blond

occupée autrefois  par les hommes de la préhistoire

qui érigèrent à profusion

des  menhirs et  des dolmens,

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Des abbayes en ruine

celle de Grandmont

cliquez ICI  

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des moulins au bord de l’eau 

des châteaux en ruines

celui de Bagnac

ou encore le château de la Perriere

au bord de la brame

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Et puis et puis …

on ose le dire 

les pierres d’Oradour sur Glane

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Autour du roc de l’enfer

Il y avait au moins de l’eau vive