Isaïe (6, 1-8) : Saint, Saint, Saint

L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils avaient chacun six ailes : deux pour se couvrir le visage, deux pour se couvrir les pieds, et deux pour voler. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers ! Toute la terre est remplie de sa gloire. » Les pivots des portes se mirent à trembler à la voix de celui qui criait, et le Temple se remplissait de fumée. Je dis alors : « Malheur à moi ! je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures : et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers ! » L’un des séraphins vola vers moi, tenant un charbon brûlant qu’il avait pris avec des pinces sur l’autel. Il l’approcha de ma bouche et dit : « Ceci a touché tes lèvres, et maintenant ta faute est enlevée, ton péché est pardonné. » J’entendis alors la voix du Seigneur qui disait : « Qui enverrai-je ? qui sera notre messager ? » Et j’ai répondu : « Me voici : envoie-moi ! »

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Dieu est le Saint !

La sainteté de Dieu

c’est un mystère qui fait trembler mais qui fascine

 « mysterium tremendum et fascinans »

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Le Seigneur siégeait sur un trône très élevé.Les pans de son manteau remplissaient le Temple

On le croit absent

mais il est omniprésent  

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Des séraphins se tenaient au-dessus de lui

On se croit seul dans l’univers

mais des séraphins, des chérubins, des principautés

servent Dieu par milliers de myriade

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On en doute !

mais Dieu n’est il pas au-delà de tout ce que l’on peut imaginer

Ce sont des ‘brûlants’, des êtres de feu

comme les myriades d’étoiles qui remplissent les myriades de galaxies  

 

seraphim

 Ils avaient chacun six ailes :deux pour se couvrir le visage,

Il faut mourir pour voir Dieu

Comment le comprendre ?

Comment l’imaginer ?

Comment le définir

Inutile !

Ce n’est pas possible

Qui est Dieu ?

Je ne sais !

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Deux pour se couvrir les pieds,

en signe de respect et d’humilité

 et deux pour voler.

pour l’honorer et le chanter

pour sa plus grande gloire  

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 Le sanctus

Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers ! Toute la terre est remplie de sa gloire. »

Ce chant est le sanctus chanté à la messe

« …Hosanna au plus haut des cieux …béni soit celui qui vient au nom du Seigneur »

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Les pivots des portes se mirent à trembler à la voix de celui qui criait, et le Temple se remplissait de fumée.

Ce chant de gloire fit trembler les portes du temple

tandis que la fumée de l’encens s’éleva vers le ciel

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Je dis alors : « Malheur à moi ! je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures : et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers

Comment ne pas se sentir petit devant la  grandeur de Dieu ?

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L’un des séraphins vola vers moi, tenant un charbon brûlant qu’il avait pris avec des pinces sur l’autel. Il l’approcha de ma bouche et dit : « Ceci a touché tes lèvres, et maintenant ta faute est enlevée, ton péché est pardonné. » J’entendis alors la voix du Seigneur qui disait : « Qui enverrai-je ? qui sera notre messager ? » Et j’ai répondu : « Me voici : envoie-moi ! »

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